La Vida Es un Carnaval
Todo aquel que piense que la vida es desigual,
tiene que saber que no es asi,
que la vida es una hermosura, hay que vivirla.
Todo aquel que piense que esta solo y que esta mal,
tiene que saber que no es asi,
que en la vida no hay nadie solo, siempre hay alguien.
Ay, no ha que llorar, que la vida es un carnaval,
es mas bello vivir cantando.
Oh, oh, oh, Ay, no hay que llorar,que la vida es un carnaval
y las penas se van cantando.
Todo aquel que piense que la vida siempre es cruel,
tiene que saber que no es asi,
que tan solo hay momentos malos, y todo pasa.
Todo aquel que piense que esto nunca va a cambiar,
tiene que saber que no es asi,
que al mal tiempo buena cara, y todo pasa.
Ay, no ha que llorar, que la vida es un carnaval,
es mas bello vivir cantando.
Oh, oh, oh, Ay, no hay que llorar,que la vida es un carnaval
y las penas se van cantando.
Para aquellos que se quejan tanto.
Para aquellos que solo critican.
Para aquellos que usan las armas.
Para aquellos que nos contaminan.
Para aquellos que hacen la guerra.
Para aquellos que viven pecando.
Para aquellos nos maltratan.
Para aquellos que nos contagian.
Sou um jovem angolano cosmopolita e quis, ao criar este Blog, partilhar com vocês os meus gostos e desgostos, comentários sobre aquilo que me interessa. Todo comentário é bem vindo, desde que seja respeitada a coisa mais importante neste mundo: o direito a uma opinião.
Monday, December 25, 2006
Sunday, December 24, 2006
Thursday, December 21, 2006
Marilyn Monroe & Joe DiMaggio
Norma Jeane Mortensen. Norma Jean Baker. Marilyn Monroe. Um idolo. Uma Imagem da mulher. Sensual, misteriosa, sexy, atraente, carente... extremamente carente. Uma mulher que fez sonhar milhões de homens (e mulheres) pelo mundo afora, mas que certamente só encontrou um que a conseguiu amar por quem ela era e nao pelo símbolo que ela representava. Joe DiMaggio. Mas na sua procura constante do sonho inatingível de amor absoluto, de glória e de reconhecimento de todos, Marilyn, uma linda mulher vezes sem conta reduzida apenas ao seu físico, passou a vida a tentar provar que tinha um cérebro, que era uma verdadeira actriz. Em suma, ela queria ser amada por todos e por tudo o que ela era, para compensar o sentimento de abandono que a acompanhou toda a vida, desde a mais tenra infância... e asim foi que ela perdeu o único homem que, apesar dos seus defeitos (ciumento, possessivo, machista de origem italiana que tinha uma ideia muito precisa do que deveria ser uma mulher) a amou totalmente, até depois da morte.
This is the story of one big love affair that went wrong.
Conheceram-se talvez no momento errado, nas circunstancias erradas. Marilyn nao tinha ainda vivido o suficiente. DiMaggio ainda nao era flexível o suficiente para permitir à eleita do seu coração de voar pelas próprias asas. Se ele o tivesse feito, ela teria muito certamente voltado para o ninho. Tudo o que ela queria de verdade era um ninho...
Tuesday, December 12, 2006
A COMMENTER!
Avec l'objectif atteint d'un Afghanistan perclus de bombardements et apparemment pacifié, nous voyons l'Amérique ériger, une fois de plus, l'Iraq en "démon-du-moment". Le dernier prétexte en date pour faire de l'Iraq une cible des médias et de l'appareil militaire, est que ce pays possède des "armes de destruction massive".Mais quel pays n'en possède pas ? L'ancien président, Bill Clinton, avait déjà joué la carte de l'Iraq quand il avait accusé le gouvernement de Bagdad d'être le seul à utiliser des armes de destruction massive même si l'Iraq n'était pas le seul pays à en posséder. L'éminent historien, Howard Zinn, auteur de l'ouvrage incontournable Histoire des Etats-Unis vue par ses peuples, a déclaré que seule une nation qui tourne le dos à son Histoire serait capable d'accepter l'argumentation de Clinton : "il ne peut soutenir ces contrevérités qu'auprès d'une population spoliée de son histoire. Les Etats-Unis ont équipé la Turquie, l'Israël et l'Indonésie avec de telles armes et ces pays les ont utilisées contre leurs populations civiles. La nation la plus coupable est bien la nôtre. Aucune nation sur la planète ne possède autant d'armes de destruction massive et aucune nation ne les a utilisées plus souvent que nous - avec des pertes en vies civiles plus importantes. A Hiroshima, des centaines de milliers sont morts, en Corée et au sud Vietnam des millions sont morts à cause de notre utilisation de telles armes."L'audacité de l'hypocrisie exhibée par une nation comme la nôtre, capable d'accabler de menaces une autre nation sous prétexte qu'elle possède des "armes de destruction massive", est sidérante. Les peuples asiatiques et arabes ne doivent pas en croire leurs oreilles. Le dérapage de Clinton vers la droite pendant son deuxième mandat est aujourd'hui reproduit par Bush fils, lequel recycle le mensonge de son prédécesseur : ce bon vieux mythe des "armes de destruction massive". C'est là également l'occasion pour Bush Jr., de réparer l'échec de Bush père dans la mesure où celui-ci avait omis de discipliner, comme il se devait, l'Iraq parce que cette nation avait osé se conduire en Etat souverain et non en Etat vassal (ou Etat-client) inféodé à l'Empire Américain. Pour pousser plus loin encore cette hypocrisie, sachez que certaines des armes détenues par l'Iraq étaient en effet des armes de destruction massive, ce que Washington ne pouvait ignorer puisque ce sont des équipements militaires américains qui furent livrés aux Iraqiens pour mieux leur permettre de tuer leurs adversaires iraniens. Les Etats-Unis, la Grande Bretagne et d'autres puissances occidentales se sont considérablement enrichis en vendant de telles armes non seulement à l'Iraq mais aussi à l'Iran. Les deux adversaires ont utilisé ces armes avec une efficacité redoutable au cours d'une guerre qui dura huit ans et provoqua la mort de 800.000 personnes - peut-être même I million de femmes, hommes et enfants.Courroucés par l'expulsion du Shah et la montée du feu ayatollah Khomeyni, les Etats-Unis se sont frotté les mains avec une joie toute mercantile tandis qu'ils armaient et poussaient au combat les Iraqiens tout proches. Les alliés d'hier sont les adversaires de demain. Et ce demain est arrivé : la poussière des bombardements répétés a à peine eu le temps de se mêler à la dure et froide terre afghane que l'Amérique cherche à étendre la série de ses Nouvelles Croisades à l'Iraq. Alors que l'Iraq a subi dix ans de bombardements ininterrompus aux mains des puissances occidentales ; alors que ce pays ne s'est pas encore relevé de pertes civiles s'élevant à près de 500.000 morts ; alors que l'Iraq est devenu un grand dépotoir de déchets toxiques à force de bombardements chimiques.En 1991, en 1993, en 1998 et aujourd'hui même, les menaces, le harcèlement et le bombardement de l'Iraq n'ont strictement rien à voir avec cette affaire d'armes de destruction massive.Pourquoi l'Iraq est-il un bouc émissaire de choix aujourd'hui ? Le brigadier général américain, William Looney, qui dirigea le bombardement de l'Iraq à la fin des années 1990, l'a dit sans ambages : "s'ils utilisent leurs radars, nous allons faire exploser leurs satanés missiles sol-air. Ils savent que nous possédons leur pays. Nous possédons leur espace aérien ... Nous dictons la façon dont ils vivent et s'expriment. C'est pour ça que l'Amérique d'aujourd'hui est formidable. Tout ça est bon, surtout qu'il y a beaucoup de pétrole là-bas et nous en avons besoin." (Wm Blum, Rogue State, Common Courage, 2000, p. 159).Voilà. Nous y sommes : le pétrole.Ne s'agit-il pas là d'un crime en violation de la législation internationale ?
MUMIA ABU-JAMAL
MUMIA ABU-JAMAL
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Sunday, December 10, 2006
Je voulais être Balzac
"Un homme qui veut tout peindre doit tout connaître." Honoré de Balzac, Les Illusions Perdues
Wednesday, December 06, 2006
Tuesday, December 05, 2006
Cacoethes Scribendi
Cacoethes Scribendi- The Urge to Write
If all the trees in all the woods were men;
And each and every blade of grass a pen;
If every leaf on every shrub and tree
Turned to a sheet of foolscap; every sea
Were changed to ink, and all earth's living tribes
Had nothing else to do but act as scribes,
And for ten thousand ages, day and night,
The human race should write, and write, and write,
Till all the pens and paper were used up,
And the huge inkstand was an empty cup,
Still would the scribblers clustered round its brink
Call for more pens, more paper, and more ink.
Oliver Wendell Holmes (1809-1894)
If all the trees in all the woods were men;
And each and every blade of grass a pen;
If every leaf on every shrub and tree
Turned to a sheet of foolscap; every sea
Were changed to ink, and all earth's living tribes
Had nothing else to do but act as scribes,
And for ten thousand ages, day and night,
The human race should write, and write, and write,
Till all the pens and paper were used up,
And the huge inkstand was an empty cup,
Still would the scribblers clustered round its brink
Call for more pens, more paper, and more ink.
Oliver Wendell Holmes (1809-1894)
Monday, December 04, 2006
SUPERMAX
Supermax. Parece o nome de um superheroi de banda desenhada; trata-se na verdade de uma realidade propria aos Estados Unidos da América. Uma prisão que faria passar OZ* por um campo de férias. Aparecido primeiro na Australia em 1975, este modelo carceral não tardou muito a proliferar nos EUA, onde encontrou terreno fértil devido aos indices de grande criminalidade super elevados.
O principio é simples: isolar os individuos mais perigosos do Pais, impedindo qualquer tipo de interacção até com outros prisioneiros, ja que eles são considerados "impossiveis a gerir". 23h/24 passadas numa célula, 1 hora de passeio diario (sozinhos), segurança maxima e constante. Paredes de 10 cm de espessura, sem janelas, sistema de duplas portas comandadas à distancia, refeições servidas na célula em bandejas flexiveis e sem talheres... todo o necessario para evitar que os prisioneiros desta unidade fabriquem armas e tenham a oportunidade de as utilizar contra os guardas. E um modo de vida que pode parecer deshumano visto de fora (a primeira "supermax" australiana fechou por problemas de direitos humanos e foi recentemente demolida), mas a verdade é que a sociedade americana produziu até hoje criminosos tais que um sistema carceral "normal" seria incapaz de conter e controlar. A América habituou-nos a todo tipo de excessos, em todos os dominios, mas havemos de convir que em matéria de violencia, poucos paises "desenvolvidos" podem rivalizar com os Estados Unidos. Os felizes contemplados com este tipo de tratamento são terroristas, psicopatas, assassinos multirecidivistas, membros de gangs, insurrectos que mesmo dentro da prisão continuam a fazer reinar o terror.
* Oz é uma série de televisão do canal americano HBO que retrata a vida no universo carceral, na prisão ficticia de Oswald, e em particular na "Emerald City", divisão experimental onde os prisioneiros têm uma certa autonomia. Reputada pelo seu realismo e pela violencia que caracteriza certas cenas hiperrealistas da vida na prisão, Oz não conheceu o sucesso de Prison Break pelo mundo afora por ser demasiado violenta, mas marcou os espiritos, e inumeros actores conhecidos fizeram aparições em alguns episodios( como Luke Perry, actor revelado pela série Beverly Hills 90210).
Friday, December 01, 2006
for PH
Autopsicografia
Fernando Pessoa
O poeta é um fingidor.
Finge tão completamente
Que chega a fingir que é dor
A dor que deveras sente.
E os que lêem o que escreve,
Na dor lida sentem bem,
Não as duas que ele teve,
Mas só a que eles não têm.
E assim nas calhas de roda
Gira, a entreter a razão,
Esse comboio de corda
Que se chama coração.
Fernando Pessoa
O poeta é um fingidor.
Finge tão completamente
Que chega a fingir que é dor
A dor que deveras sente.
E os que lêem o que escreve,
Na dor lida sentem bem,
Não as duas que ele teve,
Mas só a que eles não têm.
E assim nas calhas de roda
Gira, a entreter a razão,
Esse comboio de corda
Que se chama coração.
27...
Aniversário
Fernando Pessoa(Álvaro de Campos)
No TEMPO em que festejavam o dia dos meus anos,
Eu era feliz e ninguém estava morto.
Na casa antiga, até eu fazer anos era uma tradição de há séculos,
E a alegria de todos, e a minha, estava certa com uma religião qualquer.
No TEMPO em que festejavam o dia dos meus anos,
Eu tinha a grande saúde de não perceber coisa nenhuma,
De ser inteligente para entre a família,
E de não ter as esperanças que os outros tinham por mim.
Quando vim a ter esperanças, já não sabia ter esperanças.
Quando vim a olhar para a vida, perdera o sentido da vida.
Sim, o que fui de suposto a mim-mesmo,
O que fui de coração e parentesco.
O que fui de serões de meia-província,
O que fui de amarem-me e eu ser menino,
O que fui — ai, meu Deus!, o que só hoje sei que fui...
A que distância!...(Nem o acho...)
O tempo em que festejavam o dia dos meus anos!
O que eu sou hoje é como a humidade no corredor do fim da casa,
Pondo grelado nas paredes...
O que eu sou hoje (e a casa dos que me amaram treme através das minhas lágrimas),
O que eu sou hoje é terem vendido a casa,
É terem morrido todos,
É estar eu sobrevivente a mim mesmo como um fósforo frio...
No tempo em que festejavam o dia dos meus anos...
Que meu amor, como uma pessoa, esse tempo!
Desejo físico da alma de se encontrar ali outra vez,
Por uma viagem metafísica e carnal,
Com uma dualidade de eu para mim...
Comer o passado como pão de fome, sem tempo de manteiga nos dentes!
Vejo tudo outra vez com uma nitidez que me cega para o que há aqui...
A mesa posta com mais lugares, com melhores desenhos na loiça, com mais copos,
O aparador com muitas coisas — doces, frutas o resto na sombra debaixo do alçado —,
As tias velhas, os primos diferentes, e tudo era por minha causa,
No tempo em que festejavam o dia dos meus anos...
Pára, meu coração!
Não penses! Deixa o pensar na cabeça!
Ó meu Deus, meu Deus, meu Deus!
Hoje já não faço anos.
Duro.
Somam-se-me dias.
Serei velho quando o for.
Mais nada.
Raiva de não ter trazido o passado roubado na algibeira!...
O tempo em que festejavam o dia dos meus anos!...
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