Cher lecteur,
Mon côté cinéphile ne vous a pas échappé. Sans me prendre pour ce que je ne suis pas, j'ai donné maintes fois dans ce blog mon avis sur des films qui m'ont touché, une critique naïve et premier degré comme j'en suis capable, n'étant pas critique de cinéma.
Parmi les films que j'ai vu récemment, deux ont retenu mon atention: "Slumdog Millionaire" et "L'Étrange Cas de Benjamin Button". J'ai écrit deux articles très personnels et différents sur mon ressenti au sortir de chacun des deux films. Tandis que Benjamin Button, avec son budget faramineux, son Brad Pitt magistral, son scénario tiré d'une nouvelle de Fitzgerald et ses 13 nominations faisait office de favori aux Oscars, Slumdog, avec ses acteurs inconnus, son budget modeste et sa touche Bollywood, était considéré comme la bonne surprise de l'année, un outsider different des super productions made in US.
Je ne vais pas dire après coup lequel j'ai préféré, lisez les articles les concernant pour savoir de quelle façon ils m'ont touché différemment, ces films. Mais il est toutefois assez réjouissant de constater que, aujourd'hui, malgré les milliards que représente l'industrie cinématographique dans le monde, on arrive encore à faire rêver les gens avec trois fois rien, pour peu qu'on ait une histoire à raconter et un peu (beaucoup) de savoir faire pour mener son orchestre et tenir le spectateur scotché à son siège. Alors, Slumdog Millionaire et ses 8 prix raflés aux Oscars, nous rappelle que le cinéma, c'est avant d'être une question de moyens, une question de coeur et d'envie...
Mon côté cinéphile ne vous a pas échappé. Sans me prendre pour ce que je ne suis pas, j'ai donné maintes fois dans ce blog mon avis sur des films qui m'ont touché, une critique naïve et premier degré comme j'en suis capable, n'étant pas critique de cinéma.
Parmi les films que j'ai vu récemment, deux ont retenu mon atention: "Slumdog Millionaire" et "L'Étrange Cas de Benjamin Button". J'ai écrit deux articles très personnels et différents sur mon ressenti au sortir de chacun des deux films. Tandis que Benjamin Button, avec son budget faramineux, son Brad Pitt magistral, son scénario tiré d'une nouvelle de Fitzgerald et ses 13 nominations faisait office de favori aux Oscars, Slumdog, avec ses acteurs inconnus, son budget modeste et sa touche Bollywood, était considéré comme la bonne surprise de l'année, un outsider different des super productions made in US.
Je ne vais pas dire après coup lequel j'ai préféré, lisez les articles les concernant pour savoir de quelle façon ils m'ont touché différemment, ces films. Mais il est toutefois assez réjouissant de constater que, aujourd'hui, malgré les milliards que représente l'industrie cinématographique dans le monde, on arrive encore à faire rêver les gens avec trois fois rien, pour peu qu'on ait une histoire à raconter et un peu (beaucoup) de savoir faire pour mener son orchestre et tenir le spectateur scotché à son siège. Alors, Slumdog Millionaire et ses 8 prix raflés aux Oscars, nous rappelle que le cinéma, c'est avant d'être une question de moyens, une question de coeur et d'envie...
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