Friday, September 21, 2007

The return of the real come back


RES, NON VERBA! desta vez estou MESMO de volta.

Thursday, September 20, 2007

Back for good!

No ultimo artigo que eu escrevi dizia que estava de volta. Infelizmente foi um retorno de pouca duracao, e tive que me ausentar do meu blog muito mais do que aquilo que gostaria de o ter feito. O mais dificil nao e de evitar os imprevistos e diferentes problemas e obstaculos da vida, mas de ter a forca e a coragem de voltar a enfrenta los de frente depois de estes terem mudado de maneira duravel a nossa vida. Eu comecei a escrever um blog para me evadir, porque o meu caracter, a minha forma de ser necessitam de uma forma ou de outra, para suportar a vida, de deixar a minha mente divagar, sonhar, fazer sonhar. Espero que os meus escritos, para quem tiver a paciencia de os ler, vos ajudem a todos, meus confidenciais leitores, a fugir durante cinco minutos do quotidiano, dos stress e dos problemas do dia a dia.

Monday, February 19, 2007

I'm back!

Depois de um longo periodo de ausencia, devido a problemas técnicos entre outras razões (nada a ver com as tendas so Don Quichotte!) cà estou eu de volta ao que me serve de equilibrio interno: escrever. Sei que muitos de voces leitores raros e privilegiados dos meus pensamentos profundos vivem uma vida cheia de preocupações, stress e responsabilidades. Para mim escrever, mesmo que seja lixo, é um refugio, um dos poucos prazeres genuinos da existencia. Adolescente e pos adolescente, eu adorava escrever cartas. Era um meio de comunicação que me permitia muito mais liberdade do que o discurso directo. A minha timidez quase doentia (sortudos os poucos que não passaram por ai na adolescencia) era substituida por toda a "verve" e fantasia que dentro do meu cérebro moravam e esperavam ansiosamente uma ocasião para de là sair. Eu adorava escrever cartas de 5, 6 ou 7 pàginas, à minha prima Vania, à minha kamba Kizzy (where are you girl?), entre (poucos) outros... acho que não é uma forma de expressão "masculina" por excelencia no subconsciente colectivo, mas eu sempre fui melhor em diferido do que em directo... que culpa tenho eu? Para os poucos que têm a paciencia de me ler aqui, obrigado por serem as novas "testemunhas" dos meus conflitos internos.

Friday, January 05, 2007

Beaubourg, mon amour!


montée escaliers centre pompidou
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Tout individu ayant étudié à Paris et essayé d'être un minimum sérieux, a forcément mis ses pieds dans la Bibliothèque Publique d'Information (BPI) du centre Georges Pompidou. En tant qu'étudiant en architectur, j'ai eu le loisir de revenir à Beaubourg aussi pour des expositions d'art et d'architecture, et au fur et à mesure de mes visites, suis tombé amoureux de l'endroit. Outre l'architecture de cet ovni en plein Paris de pierre, à deux pas du Marais, l'ambiance "usine du savoir et de l'art moderne" voulue par Renzo Piano, l'architecte, m'a aussi plu. la façade métallique contenant tout ce qui est porteur, les codes de couleur ludiques et fonctionnels pour les circulations verticales, les conduits d'air et les conduits d'électricité, les jeux de terrasse à l'inérieur, le George, magnifique restaurant au dernier étage, la montée de l'escalier mécanique, véritable ascension architecturale et une façon originale de découvrir Paris...

Beaubourg est une véritable ruche, où je me suis souvent rendu en tant qu'abeille, pour accomplir une tâche spécifique, ou bien en touriste, curieux dece que je vais bien pouvoir découvrir à chaque nouvelle visite.

Quand je suis arrivé à Paris, ma cousine Helga m'a emmené poour la première fois au centre Pompidou. Elle m'a dit adorer l'endroit, et à l'époque, malgré l'originalité du bâtiment, je ne voyais pas bien comment elle pouvait bien l'"adorer". Je n'étais pas enore familier avec la foule parisienne, et faire la queue pendant des heures pour aller dans une bibliothèque m'a paru un comble. Après bientôt 10 ans de pratique du lieu, je ne peux que remercier ma cousine, et espérer sensibiliser d'autres, Parisiens ou touristes, au charme de ce bon vieux Beaubourg...

Monday, December 25, 2006

A Celia Cruz tinha razão...

La Vida Es un Carnaval

Todo aquel que piense que la vida es desigual,
tiene que saber que no es asi,
que la vida es una hermosura, hay que vivirla.
Todo aquel que piense que esta solo y que esta mal,
tiene que saber que no es asi,
que en la vida no hay nadie solo, siempre hay alguien.

Ay, no ha que llorar, que la vida es un carnaval,
es mas bello vivir cantando.
Oh, oh, oh, Ay, no hay que llorar,que la vida es un carnaval
y las penas se van cantando.

Todo aquel que piense que la vida siempre es cruel,
tiene que saber que no es asi,
que tan solo hay momentos malos, y todo pasa.
Todo aquel que piense que esto nunca va a cambiar,
tiene que saber que no es asi,
que al mal tiempo buena cara, y todo pasa.

Ay, no ha que llorar, que la vida es un carnaval,
es mas bello vivir cantando.
Oh, oh, oh, Ay, no hay que llorar,que la vida es un carnaval
y las penas se van cantando.

Para aquellos que se quejan tanto.
Para aquellos que solo critican.
Para aquellos que usan las armas.
Para aquellos que nos contaminan.
Para aquellos que hacen la guerra.
Para aquellos que viven pecando.
Para aquellos nos maltratan.
Para aquellos que nos contagian.

Sunday, December 24, 2006

Thursday, December 21, 2006

Marilyn Monroe & Joe DiMaggio



Norma Jeane Mortensen. Norma Jean Baker. Marilyn Monroe. Um idolo. Uma Imagem da mulher. Sensual, misteriosa, sexy, atraente, carente... extremamente carente. Uma mulher que fez sonhar milhões de homens (e mulheres) pelo mundo afora, mas que certamente só encontrou um que a conseguiu amar por quem ela era e nao pelo símbolo que ela representava. Joe DiMaggio. Mas na sua procura constante do sonho inatingível de amor absoluto, de glória e de reconhecimento de todos, Marilyn, uma linda mulher vezes sem conta reduzida apenas ao seu físico, passou a vida a tentar provar que tinha um cérebro, que era uma verdadeira actriz. Em suma, ela queria ser amada por todos e por tudo o que ela era, para compensar o sentimento de abandono que a acompanhou toda a vida, desde a mais tenra infância... e asim foi que ela perdeu o único homem que, apesar dos seus defeitos (ciumento, possessivo, machista de origem italiana que tinha uma ideia muito precisa do que deveria ser uma mulher) a amou totalmente, até depois da morte.

This is the story of one big love affair that went wrong.

Conheceram-se talvez no momento errado, nas circunstancias erradas. Marilyn nao tinha ainda vivido o suficiente. DiMaggio ainda nao era flexível o suficiente para permitir à eleita do seu coração de voar pelas próprias asas. Se ele o tivesse feito, ela teria muito certamente voltado para o ninho. Tudo o que ela queria de verdade era um ninho...

Tuesday, December 12, 2006

A COMMENTER!

Avec l'objectif atteint d'un Afghanistan perclus de bombardements et apparemment pacifié, nous voyons l'Amérique ériger, une fois de plus, l'Iraq en "démon-du-moment". Le dernier prétexte en date pour faire de l'Iraq une cible des médias et de l'appareil militaire, est que ce pays possède des "armes de destruction massive".Mais quel pays n'en possède pas ? L'ancien président, Bill Clinton, avait déjà joué la carte de l'Iraq quand il avait accusé le gouvernement de Bagdad d'être le seul à utiliser des armes de destruction massive même si l'Iraq n'était pas le seul pays à en posséder. L'éminent historien, Howard Zinn, auteur de l'ouvrage incontournable Histoire des Etats-Unis vue par ses peuples, a déclaré que seule une nation qui tourne le dos à son Histoire serait capable d'accepter l'argumentation de Clinton : "il ne peut soutenir ces contrevérités qu'auprès d'une population spoliée de son histoire. Les Etats-Unis ont équipé la Turquie, l'Israël et l'Indonésie avec de telles armes et ces pays les ont utilisées contre leurs populations civiles. La nation la plus coupable est bien la nôtre. Aucune nation sur la planète ne possède autant d'armes de destruction massive et aucune nation ne les a utilisées plus souvent que nous - avec des pertes en vies civiles plus importantes. A Hiroshima, des centaines de milliers sont morts, en Corée et au sud Vietnam des millions sont morts à cause de notre utilisation de telles armes."L'audacité de l'hypocrisie exhibée par une nation comme la nôtre, capable d'accabler de menaces une autre nation sous prétexte qu'elle possède des "armes de destruction massive", est sidérante. Les peuples asiatiques et arabes ne doivent pas en croire leurs oreilles. Le dérapage de Clinton vers la droite pendant son deuxième mandat est aujourd'hui reproduit par Bush fils, lequel recycle le mensonge de son prédécesseur : ce bon vieux mythe des "armes de destruction massive". C'est là également l'occasion pour Bush Jr., de réparer l'échec de Bush père dans la mesure où celui-ci avait omis de discipliner, comme il se devait, l'Iraq parce que cette nation avait osé se conduire en Etat souverain et non en Etat vassal (ou Etat-client) inféodé à l'Empire Américain. Pour pousser plus loin encore cette hypocrisie, sachez que certaines des armes détenues par l'Iraq étaient en effet des armes de destruction massive, ce que Washington ne pouvait ignorer puisque ce sont des équipements militaires américains qui furent livrés aux Iraqiens pour mieux leur permettre de tuer leurs adversaires iraniens. Les Etats-Unis, la Grande Bretagne et d'autres puissances occidentales se sont considérablement enrichis en vendant de telles armes non seulement à l'Iraq mais aussi à l'Iran. Les deux adversaires ont utilisé ces armes avec une efficacité redoutable au cours d'une guerre qui dura huit ans et provoqua la mort de 800.000 personnes - peut-être même I million de femmes, hommes et enfants.Courroucés par l'expulsion du Shah et la montée du feu ayatollah Khomeyni, les Etats-Unis se sont frotté les mains avec une joie toute mercantile tandis qu'ils armaient et poussaient au combat les Iraqiens tout proches. Les alliés d'hier sont les adversaires de demain. Et ce demain est arrivé : la poussière des bombardements répétés a à peine eu le temps de se mêler à la dure et froide terre afghane que l'Amérique cherche à étendre la série de ses Nouvelles Croisades à l'Iraq. Alors que l'Iraq a subi dix ans de bombardements ininterrompus aux mains des puissances occidentales ; alors que ce pays ne s'est pas encore relevé de pertes civiles s'élevant à près de 500.000 morts ; alors que l'Iraq est devenu un grand dépotoir de déchets toxiques à force de bombardements chimiques.En 1991, en 1993, en 1998 et aujourd'hui même, les menaces, le harcèlement et le bombardement de l'Iraq n'ont strictement rien à voir avec cette affaire d'armes de destruction massive.Pourquoi l'Iraq est-il un bouc émissaire de choix aujourd'hui ? Le brigadier général américain, William Looney, qui dirigea le bombardement de l'Iraq à la fin des années 1990, l'a dit sans ambages : "s'ils utilisent leurs radars, nous allons faire exploser leurs satanés missiles sol-air. Ils savent que nous possédons leur pays. Nous possédons leur espace aérien ... Nous dictons la façon dont ils vivent et s'expriment. C'est pour ça que l'Amérique d'aujourd'hui est formidable. Tout ça est bon, surtout qu'il y a beaucoup de pétrole là-bas et nous en avons besoin." (Wm Blum, Rogue State, Common Courage, 2000, p. 159).Voilà. Nous y sommes : le pétrole.Ne s'agit-il pas là d'un crime en violation de la législation internationale ?

MUMIA ABU-JAMAL

Sunday, December 10, 2006

Je voulais être Balzac

"Un homme qui veut tout peindre doit tout connaître." Honoré de Balzac, Les Illusions Perdues

Wednesday, December 06, 2006

6 de Dezembro de 2006


thais 12 mois 121
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Tuesday, December 05, 2006

Cacoethes Scribendi

Cacoethes Scribendi- The Urge to Write

If all the trees in all the woods were men;
And each and every blade of grass a pen;
If every leaf on every shrub and tree
Turned to a sheet of foolscap; every sea
Were changed to ink, and all earth's living tribes
Had nothing else to do but act as scribes,
And for ten thousand ages, day and night,
The human race should write, and write, and write,
Till all the pens and paper were used up,
And the huge inkstand was an empty cup,
Still would the scribblers clustered round its brink
Call for more pens, more paper, and more ink.

Oliver Wendell Holmes (1809-1894)

Monday, December 04, 2006

SUPERMAX


Supermax. Parece o nome de um superheroi de banda desenhada; trata-se na verdade de uma realidade propria aos Estados Unidos da América. Uma prisão que faria passar OZ* por um campo de férias. Aparecido primeiro na Australia em 1975, este modelo carceral não tardou muito a proliferar nos EUA, onde encontrou terreno fértil devido aos indices de grande criminalidade super elevados.
O principio é simples: isolar os individuos mais perigosos do Pais, impedindo qualquer tipo de interacção até com outros prisioneiros, ja que eles são considerados "impossiveis a gerir". 23h/24 passadas numa célula, 1 hora de passeio diario (sozinhos), segurança maxima e constante. Paredes de 10 cm de espessura, sem janelas, sistema de duplas portas comandadas à distancia, refeições servidas na célula em bandejas flexiveis e sem talheres... todo o necessario para evitar que os prisioneiros desta unidade fabriquem armas e tenham a oportunidade de as utilizar contra os guardas. E um modo de vida que pode parecer deshumano visto de fora (a primeira "supermax" australiana fechou por problemas de direitos humanos e foi recentemente demolida), mas a verdade é que a sociedade americana produziu até hoje criminosos tais que um sistema carceral "normal" seria incapaz de conter e controlar. A América habituou-nos a todo tipo de excessos, em todos os dominios, mas havemos de convir que em matéria de violencia, poucos paises "desenvolvidos" podem rivalizar com os Estados Unidos. Os felizes contemplados com este tipo de tratamento são terroristas, psicopatas, assassinos multirecidivistas, membros de gangs, insurrectos que mesmo dentro da prisão continuam a fazer reinar o terror.

* Oz é uma série de televisão do canal americano HBO que retrata a vida no universo carceral, na prisão ficticia de Oswald, e em particular na "Emerald City", divisão experimental onde os prisioneiros têm uma certa autonomia. Reputada pelo seu realismo e pela violencia que caracteriza certas cenas hiperrealistas da vida na prisão, Oz não conheceu o sucesso de Prison Break pelo mundo afora por ser demasiado violenta, mas marcou os espiritos, e inumeros actores conhecidos fizeram aparições em alguns episodios( como Luke Perry, actor revelado pela série Beverly Hills 90210).

Friday, December 01, 2006

for PH

Autopsicografia

Fernando Pessoa

O poeta é um fingidor.
Finge tão completamente
Que chega a fingir que é dor
A dor que deveras sente.
E os que lêem o que escreve,
Na dor lida sentem bem,
Não as duas que ele teve,
Mas só a que eles não têm.
E assim nas calhas de roda
Gira, a entreter a razão,
Esse comboio de corda
Que se chama coração.

27...


Aniversário
Fernando Pessoa(Álvaro de Campos)

No TEMPO em que festejavam o dia dos meus anos,
Eu era feliz e ninguém estava morto.
Na casa antiga, até eu fazer anos era uma tradição de há séculos,
E a alegria de todos, e a minha, estava certa com uma religião qualquer.
No TEMPO em que festejavam o dia dos meus anos,
Eu tinha a grande saúde de não perceber coisa nenhuma,
De ser inteligente para entre a família,
E de não ter as esperanças que os outros tinham por mim.
Quando vim a ter esperanças, já não sabia ter esperanças.
Quando vim a olhar para a vida, perdera o sentido da vida.

Sim, o que fui de suposto a mim-mesmo,
O que fui de coração e parentesco.
O que fui de serões de meia-província,
O que fui de amarem-me e eu ser menino,
O que fui — ai, meu Deus!, o que só hoje sei que fui...
A que distância!...(Nem o acho...)
O tempo em que festejavam o dia dos meus anos!

O que eu sou hoje é como a humidade no corredor do fim da casa,
Pondo grelado nas paredes...
O que eu sou hoje (e a casa dos que me amaram treme através das minhas lágrimas),
O que eu sou hoje é terem vendido a casa,
É terem morrido todos,
É estar eu sobrevivente a mim mesmo como um fósforo frio...

No tempo em que festejavam o dia dos meus anos...
Que meu amor, como uma pessoa, esse tempo!
Desejo físico da alma de se encontrar ali outra vez,
Por uma viagem metafísica e carnal,
Com uma dualidade de eu para mim...
Comer o passado como pão de fome, sem tempo de manteiga nos dentes!

Vejo tudo outra vez com uma nitidez que me cega para o que há aqui...
A mesa posta com mais lugares, com melhores desenhos na loiça, com mais copos,
O aparador com muitas coisas — doces, frutas o resto na sombra debaixo do alçado —,
As tias velhas, os primos diferentes, e tudo era por minha causa,
No tempo em que festejavam o dia dos meus anos...

Pára, meu coração!
Não penses! Deixa o pensar na cabeça!
Ó meu Deus, meu Deus, meu Deus!
Hoje já não faço anos.
Duro.
Somam-se-me dias.
Serei velho quando o for.
Mais nada.
Raiva de não ter trazido o passado roubado na algibeira!...

O tempo em que festejavam o dia dos meus anos!...

Friday, November 24, 2006

ESPIONAGEM INTERNACIONAL


O assassinato de uma jornalista Russa. Um ex agente do KGB/FSB investiga, entra em contacto com um "informador" que supostamente teria informações sobre este assassinato. Ele é por sua vez envenenado em Londres. Em estado grave, ele acusa o Kremlin. O Kremlin nega qualquer responsabilidade em qualquer dos dois crimes. Não; não se trata do cenario do ultimo James Bond nem do ultimo livro do Tom Clancy, mas da realidade. Não estamos em plena guerra fria, a Russia de hoje é supostamente um Pais democratico que respeita os direitos humanos e a liberdade de imprensa. E esta historia rebenta em todos os jornais do mundo.

Como diria um ente querido meu, a democracia não acontece da noite pro dia... e o passado glorioso do KGB num contexto de guerra fria onde tudo vale pela ilustre Rodina (Patria) parece ainda estar muito presente no espirito de certos dirigentes Russos. Mas chuuuuuuut... deixa-me calar-me, não và o meu proximo sushi ou chà estar envenenado...

Tuesday, November 21, 2006

Quem é o pensador?



Se alguem pedir a um francês para designar um objeto ou monumento que represente a França, ele vai quase de certeza citar a torre Eiffel. Para os Americanos é a Estatua da Liberdade. Para os Ingleses sera o Big Ben. Todos estes edificios/ monumentos são alvos preferenciais para turistas do mundo inteiro, e o merchandising à volta deles faz deles fontes de receitas fantasticas para estes paises. Nos, Angolanos, temos a estatua das Heroinas ou a de Neto, ou riquezas Naturais como a Palanca ou a Welwitchia. Mas para mim, o Pensador é o melhor embaixador de Angola no mundo.

Sentado no chão, os cotovelos sobre os joelhos, as mãos na cabeça e as costas arqueadas, o pensador tem uma postura de homem preocupado. Desesperado? Talvez. Um homem que acabou de perder uma pessoa querida. Ou um amante abandonado. Ou um pai de familia preocupado com o pão dos seus pequenos. Ou um velho ermita que se retirou do mundo para fugir à sua loucura. Talvez um soba, monumento de sabedoria, apreciando em silencio o desenrolar da vida diante dos seus olhos. Ou um velho cansado esperando a morte, depois de uma vida cheia de altos e baixos...

O Pensador pode ser cada um de nos, num momento de intensa reflexão, numa das situações acima citadas ou 1001 outras. O nosso inconsciente colectivo incorporou esta peça de artesanato nas nossas mentes, nas nossas vidas, e para além dum monumento à cultura angolana, é algo que nos pertence a todos.


http://multiculturas.com/angolanos/alberto_pinto_tchokwe.htm

Le baiser de l'Hotel de ville, par Doisneau

GUILTY PLEASURES...








GUILTY PLEASURES. O termo é usado para designar gostos que não assumimos plenamente diante dos nossos amigos por medo do que eles possam pensar. Por exemplo, muito boa gente (como eu) gostou do primeiro album do Justin Timberlake, cantor para adolescentes saido de um boys band dos mais "cafonas", como diriam os brasileiros. E quando certos amigos viram o album no meu computador, eu disse que tinha sido a minha irmã a pô-lo. Neste momento, o meu guilty pleasure chama-se Nicole Scherzinger. Jovem cantora de 28 anos, descoberta na primeira edição de Popstars americano, ela fez parte do grupo Eden's Crush, antes de se tornar lider vocal do grupo PussyCat Dolls. Ela tem colaborado com varios cantores da cena hip hop e Soul, com o seu grupo ou em solo (Will.I.Am, Diddy, Busta Rhymes, Snoop, Avant). O seu primeiro album, sob o nome Nicole Kea, esta previsto para 2007.
Não é somenta a aparencia da jovem que faz dela um guilty pleasure, pois se assim fosse acho que 99% dos homens no planeta teriam o mesmo que eu, mas tambem a convicção que ela canta razoavelmente bem. Sim, leram bem. eu curto a voz dela, e mesmo se não é nenhuma Whitney Houston, a musica dela é feel good music, e até me surpreendeu na musica Stickwitu.
OK. Podes não acreditar em mim, pensar que eu ouço com os olhos, mas ela tem um futuro fora do grupo, e acho que ela vai durar mais do que dois ou três anos. E apenas uma opinião pessoal...
P.S.: Melody Thornton, outra jovem cantora do mesmo grupo, partilha com a sua lider, Nicole, um fisico atraente e uma voz promissora (e mais potente que a da primeira). to be continued...

look what SNOOP HAD FOR CHRISTMAS!

LENDAS VIVAS: MICHAEL JORDAN









Michael Jeffrey JORDAN
nascido a 17 de fevereiro de 1963 em Brooklyn, New York
1m98 98kg (quando em actividade)

Campeão Universitario NCAA em 1982 com a Universidade de North Carolina
Campeão Olimpico com a Selecção Americana de Basketball em 1984 e em 1992
3a escolha da draft de 1984
Melhor Rookie de 1985 (um dos 3 unicos jogadores da historia da NBA a ter marcado mais de 20 pontos, 5 ressaltos e 5 assistes em média durante o primeiro ano de actividade)
Vencedor do Slam Dunk Contest em 1987 e 1988
Campeão NBA em 1991, 1992, 1993, 1996, 1997, 1998
MVP do Campeonato em 1988, 1991, 1992, 1996, 1998
MVP dos Playoffs em 1991, 1992, 1993, 1996, 1997, 1998
MVP do All Star Game em 1988, 1996, 1998 (13 participações)
10 selecções à All NBA First Team
9 selecções à All Defensive First Team
10 vezes melhor marcador do campeonato NBA

http://www.nba.com/history/players/jordan_stats.html

tudo isto são apenas numeros, estatisticas, records... apesar de impressionantes, eles não sao suficientes para explicar, para descrever a beleza do basquetebol quando jogado por Michael "Air" Jordan, His Royal Airness, a lingua de fora, o numero 23 acima de todos os outros, a determinação e a sede de vitoria no olhar. Os duelos miticos contra grandes jogadores como Clyde Drexler, Dominique Wilkins, Charles Barkley, John Starks, Reggie Miller, os Detroit Pistons (toda a equipa jogava para parar um so homem), John Stockton, etc, etc... Milhões de imagens que se imprimiram para sempre nas mentes de quem o viu jogar e pôde de facto comprovar as palavras de Larry Bird: quando Michael Jordan jogava basket, "it was God disguised in Michael Jordan"'! Quando MJ jogava, os outros (adversarios ou teammates) paravam e apreciavam...