Monday, December 25, 2006

A Celia Cruz tinha razão...

La Vida Es un Carnaval

Todo aquel que piense que la vida es desigual,
tiene que saber que no es asi,
que la vida es una hermosura, hay que vivirla.
Todo aquel que piense que esta solo y que esta mal,
tiene que saber que no es asi,
que en la vida no hay nadie solo, siempre hay alguien.

Ay, no ha que llorar, que la vida es un carnaval,
es mas bello vivir cantando.
Oh, oh, oh, Ay, no hay que llorar,que la vida es un carnaval
y las penas se van cantando.

Todo aquel que piense que la vida siempre es cruel,
tiene que saber que no es asi,
que tan solo hay momentos malos, y todo pasa.
Todo aquel que piense que esto nunca va a cambiar,
tiene que saber que no es asi,
que al mal tiempo buena cara, y todo pasa.

Ay, no ha que llorar, que la vida es un carnaval,
es mas bello vivir cantando.
Oh, oh, oh, Ay, no hay que llorar,que la vida es un carnaval
y las penas se van cantando.

Para aquellos que se quejan tanto.
Para aquellos que solo critican.
Para aquellos que usan las armas.
Para aquellos que nos contaminan.
Para aquellos que hacen la guerra.
Para aquellos que viven pecando.
Para aquellos nos maltratan.
Para aquellos que nos contagian.

Sunday, December 24, 2006

Thursday, December 21, 2006

Marilyn Monroe & Joe DiMaggio



Norma Jeane Mortensen. Norma Jean Baker. Marilyn Monroe. Um idolo. Uma Imagem da mulher. Sensual, misteriosa, sexy, atraente, carente... extremamente carente. Uma mulher que fez sonhar milhões de homens (e mulheres) pelo mundo afora, mas que certamente só encontrou um que a conseguiu amar por quem ela era e nao pelo símbolo que ela representava. Joe DiMaggio. Mas na sua procura constante do sonho inatingível de amor absoluto, de glória e de reconhecimento de todos, Marilyn, uma linda mulher vezes sem conta reduzida apenas ao seu físico, passou a vida a tentar provar que tinha um cérebro, que era uma verdadeira actriz. Em suma, ela queria ser amada por todos e por tudo o que ela era, para compensar o sentimento de abandono que a acompanhou toda a vida, desde a mais tenra infância... e asim foi que ela perdeu o único homem que, apesar dos seus defeitos (ciumento, possessivo, machista de origem italiana que tinha uma ideia muito precisa do que deveria ser uma mulher) a amou totalmente, até depois da morte.

This is the story of one big love affair that went wrong.

Conheceram-se talvez no momento errado, nas circunstancias erradas. Marilyn nao tinha ainda vivido o suficiente. DiMaggio ainda nao era flexível o suficiente para permitir à eleita do seu coração de voar pelas próprias asas. Se ele o tivesse feito, ela teria muito certamente voltado para o ninho. Tudo o que ela queria de verdade era um ninho...

Tuesday, December 12, 2006

A COMMENTER!

Avec l'objectif atteint d'un Afghanistan perclus de bombardements et apparemment pacifié, nous voyons l'Amérique ériger, une fois de plus, l'Iraq en "démon-du-moment". Le dernier prétexte en date pour faire de l'Iraq une cible des médias et de l'appareil militaire, est que ce pays possède des "armes de destruction massive".Mais quel pays n'en possède pas ? L'ancien président, Bill Clinton, avait déjà joué la carte de l'Iraq quand il avait accusé le gouvernement de Bagdad d'être le seul à utiliser des armes de destruction massive même si l'Iraq n'était pas le seul pays à en posséder. L'éminent historien, Howard Zinn, auteur de l'ouvrage incontournable Histoire des Etats-Unis vue par ses peuples, a déclaré que seule une nation qui tourne le dos à son Histoire serait capable d'accepter l'argumentation de Clinton : "il ne peut soutenir ces contrevérités qu'auprès d'une population spoliée de son histoire. Les Etats-Unis ont équipé la Turquie, l'Israël et l'Indonésie avec de telles armes et ces pays les ont utilisées contre leurs populations civiles. La nation la plus coupable est bien la nôtre. Aucune nation sur la planète ne possède autant d'armes de destruction massive et aucune nation ne les a utilisées plus souvent que nous - avec des pertes en vies civiles plus importantes. A Hiroshima, des centaines de milliers sont morts, en Corée et au sud Vietnam des millions sont morts à cause de notre utilisation de telles armes."L'audacité de l'hypocrisie exhibée par une nation comme la nôtre, capable d'accabler de menaces une autre nation sous prétexte qu'elle possède des "armes de destruction massive", est sidérante. Les peuples asiatiques et arabes ne doivent pas en croire leurs oreilles. Le dérapage de Clinton vers la droite pendant son deuxième mandat est aujourd'hui reproduit par Bush fils, lequel recycle le mensonge de son prédécesseur : ce bon vieux mythe des "armes de destruction massive". C'est là également l'occasion pour Bush Jr., de réparer l'échec de Bush père dans la mesure où celui-ci avait omis de discipliner, comme il se devait, l'Iraq parce que cette nation avait osé se conduire en Etat souverain et non en Etat vassal (ou Etat-client) inféodé à l'Empire Américain. Pour pousser plus loin encore cette hypocrisie, sachez que certaines des armes détenues par l'Iraq étaient en effet des armes de destruction massive, ce que Washington ne pouvait ignorer puisque ce sont des équipements militaires américains qui furent livrés aux Iraqiens pour mieux leur permettre de tuer leurs adversaires iraniens. Les Etats-Unis, la Grande Bretagne et d'autres puissances occidentales se sont considérablement enrichis en vendant de telles armes non seulement à l'Iraq mais aussi à l'Iran. Les deux adversaires ont utilisé ces armes avec une efficacité redoutable au cours d'une guerre qui dura huit ans et provoqua la mort de 800.000 personnes - peut-être même I million de femmes, hommes et enfants.Courroucés par l'expulsion du Shah et la montée du feu ayatollah Khomeyni, les Etats-Unis se sont frotté les mains avec une joie toute mercantile tandis qu'ils armaient et poussaient au combat les Iraqiens tout proches. Les alliés d'hier sont les adversaires de demain. Et ce demain est arrivé : la poussière des bombardements répétés a à peine eu le temps de se mêler à la dure et froide terre afghane que l'Amérique cherche à étendre la série de ses Nouvelles Croisades à l'Iraq. Alors que l'Iraq a subi dix ans de bombardements ininterrompus aux mains des puissances occidentales ; alors que ce pays ne s'est pas encore relevé de pertes civiles s'élevant à près de 500.000 morts ; alors que l'Iraq est devenu un grand dépotoir de déchets toxiques à force de bombardements chimiques.En 1991, en 1993, en 1998 et aujourd'hui même, les menaces, le harcèlement et le bombardement de l'Iraq n'ont strictement rien à voir avec cette affaire d'armes de destruction massive.Pourquoi l'Iraq est-il un bouc émissaire de choix aujourd'hui ? Le brigadier général américain, William Looney, qui dirigea le bombardement de l'Iraq à la fin des années 1990, l'a dit sans ambages : "s'ils utilisent leurs radars, nous allons faire exploser leurs satanés missiles sol-air. Ils savent que nous possédons leur pays. Nous possédons leur espace aérien ... Nous dictons la façon dont ils vivent et s'expriment. C'est pour ça que l'Amérique d'aujourd'hui est formidable. Tout ça est bon, surtout qu'il y a beaucoup de pétrole là-bas et nous en avons besoin." (Wm Blum, Rogue State, Common Courage, 2000, p. 159).Voilà. Nous y sommes : le pétrole.Ne s'agit-il pas là d'un crime en violation de la législation internationale ?

MUMIA ABU-JAMAL

Sunday, December 10, 2006

Je voulais être Balzac

"Un homme qui veut tout peindre doit tout connaître." Honoré de Balzac, Les Illusions Perdues

Wednesday, December 06, 2006

6 de Dezembro de 2006


thais 12 mois 121
Video sent by ricardoglenn

Tuesday, December 05, 2006

Cacoethes Scribendi

Cacoethes Scribendi- The Urge to Write

If all the trees in all the woods were men;
And each and every blade of grass a pen;
If every leaf on every shrub and tree
Turned to a sheet of foolscap; every sea
Were changed to ink, and all earth's living tribes
Had nothing else to do but act as scribes,
And for ten thousand ages, day and night,
The human race should write, and write, and write,
Till all the pens and paper were used up,
And the huge inkstand was an empty cup,
Still would the scribblers clustered round its brink
Call for more pens, more paper, and more ink.

Oliver Wendell Holmes (1809-1894)

Monday, December 04, 2006

SUPERMAX


Supermax. Parece o nome de um superheroi de banda desenhada; trata-se na verdade de uma realidade propria aos Estados Unidos da América. Uma prisão que faria passar OZ* por um campo de férias. Aparecido primeiro na Australia em 1975, este modelo carceral não tardou muito a proliferar nos EUA, onde encontrou terreno fértil devido aos indices de grande criminalidade super elevados.
O principio é simples: isolar os individuos mais perigosos do Pais, impedindo qualquer tipo de interacção até com outros prisioneiros, ja que eles são considerados "impossiveis a gerir". 23h/24 passadas numa célula, 1 hora de passeio diario (sozinhos), segurança maxima e constante. Paredes de 10 cm de espessura, sem janelas, sistema de duplas portas comandadas à distancia, refeições servidas na célula em bandejas flexiveis e sem talheres... todo o necessario para evitar que os prisioneiros desta unidade fabriquem armas e tenham a oportunidade de as utilizar contra os guardas. E um modo de vida que pode parecer deshumano visto de fora (a primeira "supermax" australiana fechou por problemas de direitos humanos e foi recentemente demolida), mas a verdade é que a sociedade americana produziu até hoje criminosos tais que um sistema carceral "normal" seria incapaz de conter e controlar. A América habituou-nos a todo tipo de excessos, em todos os dominios, mas havemos de convir que em matéria de violencia, poucos paises "desenvolvidos" podem rivalizar com os Estados Unidos. Os felizes contemplados com este tipo de tratamento são terroristas, psicopatas, assassinos multirecidivistas, membros de gangs, insurrectos que mesmo dentro da prisão continuam a fazer reinar o terror.

* Oz é uma série de televisão do canal americano HBO que retrata a vida no universo carceral, na prisão ficticia de Oswald, e em particular na "Emerald City", divisão experimental onde os prisioneiros têm uma certa autonomia. Reputada pelo seu realismo e pela violencia que caracteriza certas cenas hiperrealistas da vida na prisão, Oz não conheceu o sucesso de Prison Break pelo mundo afora por ser demasiado violenta, mas marcou os espiritos, e inumeros actores conhecidos fizeram aparições em alguns episodios( como Luke Perry, actor revelado pela série Beverly Hills 90210).

Friday, December 01, 2006

for PH

Autopsicografia

Fernando Pessoa

O poeta é um fingidor.
Finge tão completamente
Que chega a fingir que é dor
A dor que deveras sente.
E os que lêem o que escreve,
Na dor lida sentem bem,
Não as duas que ele teve,
Mas só a que eles não têm.
E assim nas calhas de roda
Gira, a entreter a razão,
Esse comboio de corda
Que se chama coração.

27...


Aniversário
Fernando Pessoa(Álvaro de Campos)

No TEMPO em que festejavam o dia dos meus anos,
Eu era feliz e ninguém estava morto.
Na casa antiga, até eu fazer anos era uma tradição de há séculos,
E a alegria de todos, e a minha, estava certa com uma religião qualquer.
No TEMPO em que festejavam o dia dos meus anos,
Eu tinha a grande saúde de não perceber coisa nenhuma,
De ser inteligente para entre a família,
E de não ter as esperanças que os outros tinham por mim.
Quando vim a ter esperanças, já não sabia ter esperanças.
Quando vim a olhar para a vida, perdera o sentido da vida.

Sim, o que fui de suposto a mim-mesmo,
O que fui de coração e parentesco.
O que fui de serões de meia-província,
O que fui de amarem-me e eu ser menino,
O que fui — ai, meu Deus!, o que só hoje sei que fui...
A que distância!...(Nem o acho...)
O tempo em que festejavam o dia dos meus anos!

O que eu sou hoje é como a humidade no corredor do fim da casa,
Pondo grelado nas paredes...
O que eu sou hoje (e a casa dos que me amaram treme através das minhas lágrimas),
O que eu sou hoje é terem vendido a casa,
É terem morrido todos,
É estar eu sobrevivente a mim mesmo como um fósforo frio...

No tempo em que festejavam o dia dos meus anos...
Que meu amor, como uma pessoa, esse tempo!
Desejo físico da alma de se encontrar ali outra vez,
Por uma viagem metafísica e carnal,
Com uma dualidade de eu para mim...
Comer o passado como pão de fome, sem tempo de manteiga nos dentes!

Vejo tudo outra vez com uma nitidez que me cega para o que há aqui...
A mesa posta com mais lugares, com melhores desenhos na loiça, com mais copos,
O aparador com muitas coisas — doces, frutas o resto na sombra debaixo do alçado —,
As tias velhas, os primos diferentes, e tudo era por minha causa,
No tempo em que festejavam o dia dos meus anos...

Pára, meu coração!
Não penses! Deixa o pensar na cabeça!
Ó meu Deus, meu Deus, meu Deus!
Hoje já não faço anos.
Duro.
Somam-se-me dias.
Serei velho quando o for.
Mais nada.
Raiva de não ter trazido o passado roubado na algibeira!...

O tempo em que festejavam o dia dos meus anos!...

Friday, November 24, 2006

ESPIONAGEM INTERNACIONAL


O assassinato de uma jornalista Russa. Um ex agente do KGB/FSB investiga, entra em contacto com um "informador" que supostamente teria informações sobre este assassinato. Ele é por sua vez envenenado em Londres. Em estado grave, ele acusa o Kremlin. O Kremlin nega qualquer responsabilidade em qualquer dos dois crimes. Não; não se trata do cenario do ultimo James Bond nem do ultimo livro do Tom Clancy, mas da realidade. Não estamos em plena guerra fria, a Russia de hoje é supostamente um Pais democratico que respeita os direitos humanos e a liberdade de imprensa. E esta historia rebenta em todos os jornais do mundo.

Como diria um ente querido meu, a democracia não acontece da noite pro dia... e o passado glorioso do KGB num contexto de guerra fria onde tudo vale pela ilustre Rodina (Patria) parece ainda estar muito presente no espirito de certos dirigentes Russos. Mas chuuuuuuut... deixa-me calar-me, não và o meu proximo sushi ou chà estar envenenado...

Tuesday, November 21, 2006

Quem é o pensador?



Se alguem pedir a um francês para designar um objeto ou monumento que represente a França, ele vai quase de certeza citar a torre Eiffel. Para os Americanos é a Estatua da Liberdade. Para os Ingleses sera o Big Ben. Todos estes edificios/ monumentos são alvos preferenciais para turistas do mundo inteiro, e o merchandising à volta deles faz deles fontes de receitas fantasticas para estes paises. Nos, Angolanos, temos a estatua das Heroinas ou a de Neto, ou riquezas Naturais como a Palanca ou a Welwitchia. Mas para mim, o Pensador é o melhor embaixador de Angola no mundo.

Sentado no chão, os cotovelos sobre os joelhos, as mãos na cabeça e as costas arqueadas, o pensador tem uma postura de homem preocupado. Desesperado? Talvez. Um homem que acabou de perder uma pessoa querida. Ou um amante abandonado. Ou um pai de familia preocupado com o pão dos seus pequenos. Ou um velho ermita que se retirou do mundo para fugir à sua loucura. Talvez um soba, monumento de sabedoria, apreciando em silencio o desenrolar da vida diante dos seus olhos. Ou um velho cansado esperando a morte, depois de uma vida cheia de altos e baixos...

O Pensador pode ser cada um de nos, num momento de intensa reflexão, numa das situações acima citadas ou 1001 outras. O nosso inconsciente colectivo incorporou esta peça de artesanato nas nossas mentes, nas nossas vidas, e para além dum monumento à cultura angolana, é algo que nos pertence a todos.


http://multiculturas.com/angolanos/alberto_pinto_tchokwe.htm

Le baiser de l'Hotel de ville, par Doisneau

GUILTY PLEASURES...








GUILTY PLEASURES. O termo é usado para designar gostos que não assumimos plenamente diante dos nossos amigos por medo do que eles possam pensar. Por exemplo, muito boa gente (como eu) gostou do primeiro album do Justin Timberlake, cantor para adolescentes saido de um boys band dos mais "cafonas", como diriam os brasileiros. E quando certos amigos viram o album no meu computador, eu disse que tinha sido a minha irmã a pô-lo. Neste momento, o meu guilty pleasure chama-se Nicole Scherzinger. Jovem cantora de 28 anos, descoberta na primeira edição de Popstars americano, ela fez parte do grupo Eden's Crush, antes de se tornar lider vocal do grupo PussyCat Dolls. Ela tem colaborado com varios cantores da cena hip hop e Soul, com o seu grupo ou em solo (Will.I.Am, Diddy, Busta Rhymes, Snoop, Avant). O seu primeiro album, sob o nome Nicole Kea, esta previsto para 2007.
Não é somenta a aparencia da jovem que faz dela um guilty pleasure, pois se assim fosse acho que 99% dos homens no planeta teriam o mesmo que eu, mas tambem a convicção que ela canta razoavelmente bem. Sim, leram bem. eu curto a voz dela, e mesmo se não é nenhuma Whitney Houston, a musica dela é feel good music, e até me surpreendeu na musica Stickwitu.
OK. Podes não acreditar em mim, pensar que eu ouço com os olhos, mas ela tem um futuro fora do grupo, e acho que ela vai durar mais do que dois ou três anos. E apenas uma opinião pessoal...
P.S.: Melody Thornton, outra jovem cantora do mesmo grupo, partilha com a sua lider, Nicole, um fisico atraente e uma voz promissora (e mais potente que a da primeira). to be continued...

look what SNOOP HAD FOR CHRISTMAS!

LENDAS VIVAS: MICHAEL JORDAN









Michael Jeffrey JORDAN
nascido a 17 de fevereiro de 1963 em Brooklyn, New York
1m98 98kg (quando em actividade)

Campeão Universitario NCAA em 1982 com a Universidade de North Carolina
Campeão Olimpico com a Selecção Americana de Basketball em 1984 e em 1992
3a escolha da draft de 1984
Melhor Rookie de 1985 (um dos 3 unicos jogadores da historia da NBA a ter marcado mais de 20 pontos, 5 ressaltos e 5 assistes em média durante o primeiro ano de actividade)
Vencedor do Slam Dunk Contest em 1987 e 1988
Campeão NBA em 1991, 1992, 1993, 1996, 1997, 1998
MVP do Campeonato em 1988, 1991, 1992, 1996, 1998
MVP dos Playoffs em 1991, 1992, 1993, 1996, 1997, 1998
MVP do All Star Game em 1988, 1996, 1998 (13 participações)
10 selecções à All NBA First Team
9 selecções à All Defensive First Team
10 vezes melhor marcador do campeonato NBA

http://www.nba.com/history/players/jordan_stats.html

tudo isto são apenas numeros, estatisticas, records... apesar de impressionantes, eles não sao suficientes para explicar, para descrever a beleza do basquetebol quando jogado por Michael "Air" Jordan, His Royal Airness, a lingua de fora, o numero 23 acima de todos os outros, a determinação e a sede de vitoria no olhar. Os duelos miticos contra grandes jogadores como Clyde Drexler, Dominique Wilkins, Charles Barkley, John Starks, Reggie Miller, os Detroit Pistons (toda a equipa jogava para parar um so homem), John Stockton, etc, etc... Milhões de imagens que se imprimiram para sempre nas mentes de quem o viu jogar e pôde de facto comprovar as palavras de Larry Bird: quando Michael Jordan jogava basket, "it was God disguised in Michael Jordan"'! Quando MJ jogava, os outros (adversarios ou teammates) paravam e apreciavam...

Monday, November 20, 2006

remember these songs/singers?

I have a dream, that one day i will reunite a bunch of real niggaz around a barbecue and listen to all of these classics of our youtn...

R Kelly, I like the croutch on you
Blackstreet, U blow my mind
Wreckx n' Effect, Rump Shaker
Lords Of the Undeerground, Tic Toc
Naughty by Nature, O.P.P.
Outkast, Southernplayalisticadillacmusic, Hootie Hoo
TLC, Baby, baby, baby (matter of fact, the whole Ooooh on the TLC tip album!!)
Craig Mack, Flava in Ya Ears (+ the remix)
Boyz II Men, End of th Road (huuuuuuuuuuuge classic)
Horace Brown, One for the money, Things we do for Love
Jodeci, Forever my lady, Feenin', Freekn' you, Some more, (and on and on and on...)
Wu Tang Clan, M.E.T.H.O.D. Man, C.R.E.AM., and the whole 36 chambers for that ass niggaaaaaaaaaz
Zhané, Hey Mr DJ
Tevin Campbell, Can we talk (don't act like you didn't like T back when you was younger...)
MC Eiht, Straight up Menace (from the soundtrack of menace to society)
the whole Doggystyle album by Snoop Doggy Dogg (remember he used to have that Doggy in between?)
damn... too much for me to remember all in one time!...

John Legend


da nova geração de artistas, provavelmente um dos meus preferidos. todos os superlativos foram uti:lizados para o elogiar, todos os prémios lhe foram atribuidos, todas as criticas foram positivas sobre o trabalho dele com outros artistas (Lauryn Hill, Jay Z, Kanye West,...) ou em solo (3 milhões de discos vendidos para o primeiro album "Get Lifted"). "O novo Stevie Wonder", "a soul music cantada com a alma de novo", John Legend, apesar da curta carreira que lhe conhecemos, vive e respira musica. Alem das melodias, que são simples e eficazes, o que mais me agrada neste artista são os textos. Uma veracidade a tratar de temas que todos nos vivemos e com os quais nos identificamos... wow! Ordinary people, a minha canção preferida destes ultimos 3 anos, é um hino ao amor longe dos clichés do pôr do sol e do cavalo branco, amor perfeito no castelo com o principe e toda essa bullshit que polui a mente da juventude desde sempre. Amor é trabalho. Amor constroi-se. Amor doi. Amor cansa. Mas se no fim de tudo, ainda hà amor, é porque o Amor venceu. Até ao proximo obstaculo. So por esse som, primo, mereces todo o meu respeito.

Mas o John Legend tem tambem algo que falta a muitos cantores: sentido de humor e auto critica. As musicas I Used to Love You e Number One sao das mais engraçadas (e ao mesmo tempo tragicas) que eu ja ouvi!!! Na primeira, ele diz à dama que afinal deu conta que ele não pode ser aquele que ela espera que ele seja porque o coitado é modesto, e ela quer viver vida de estrela, tipo whitney and bobby. quanto à number one, é um individuo adultero multi recidivista a tentar convencer a mulher que desta vez é mesmo a ultima, e que ela não o pode por fora de casa porque ela não imagina os esforços que ele fazia para ela não descobrir a traição dele, e isso é a maior prova de amor... como se diria em linguagem cibernética: LOL!

anyway, eu não vou fazer a ficha biografica do artista, o que eu queria dizer é que ele é dos poucos artistas actuais a verdadeiramente mexer comigo com a sua musica, e por isso, agradeço-lhe...

para quem quer conhecer, eis o site: www.johnlegend.com

Wednesday, November 15, 2006

PANEM ET CIRCENSES



Pão e circo. Pão e jogos. Pão e divertimento. Eis uma divisa formulada ha centenas de anos e que hoje mais do que nunca se aplica à sociedade na qual vivemos. Podia ser o resumo da "evolução" humana.

Na Roma Antiga, o filosofo e satirista Juvenal utilisou a expressão para dizer que o poder dava ao povo o minimo e indispensavel para matar a fome, e organizava jogos de circo para ocupa-lo, e assim distrai-lo dos verdadeiros problemas politicos e sociais. Pois é, a Patria Mãe da Republica e da democracia (não nos esqueçamos da etimologia da palavra: demos (povo) + cratia (poder)= poder do povo) conheceu os mesmos problemas que todas as nações que actualmente se dizem democracias. A diferença é que hoje o circo é 100000 vezes mais eficaz na sua missão de distracção. Jornais, revistas, radio, mas sobretudo, os mais potentes de hoje e amanhã, a televisão (hoje) e a internet (amanhã).

Impossivel ignorar que o Tom Cruise vai casar (ou jà casou?) na Italia, até no jornal das 8h passa, ou que a Madonna adoptou uma criança do Malawi, que a Britney vai divorciar (ou ja divorciou?) e que o Brad Pitt e a Angelina Jolie tiveram uma filha nascida na Namibia. E para estas supostas "informações", hà uma procura imensa, dai a multiplicação de revistas especializadas nesse tipo de temas, as emissões "people" na televisão, os sites internet de "gossip"... Enquanto houver estes niveis de audiencia para tal circo, ha de haver grupos de media que se tornarão super ricos e influentes a venderem nos vento e a tentar controlar as nossas mentes. Conspiracy theory? Sera que eu estou em pleno delirio paranoico? Não, amigo leitor, apenas a tentar compreender aquilo que vejo.
Para falar de internet, jà que é o media que eu escolhi para me exprimir (o unico no qual eu posso dar a minha opinião tão facilmente), até nos sites de informação se generalizou a tendencia da info-trash. Exemplo: abro hoje o angonoticias, e tenho em noticia de destaque "A turma do verbo encher: oposição continua a defraudar". Sera que este tom jornalistico é o mais indicado para um dos sites de informação Angolano mais visitados pelo mundo afora?

Pois é, caro leitor, nohs vivemos numa mise en scène permanente, onde o interesse das pessoas pela sociedade é condicionado por quem nos fala dela. E mais facil sensibilizar a população mundial aos problemas ambientais com uma estrela de Hollywood do que com ministros e presidentes em conferencias em Kyoto ou onde quer que seja. A adopção de crianças do terceiro mundo passou a existir desde que a Madonna ou a Angelina Jolie adoptaram, antes disso, acho que nunca tinha sido feito. E mais facil interessarmo-nos pela guerra de Troia quando é o Brad Pitt o Aquiles; até porque a Iliada é um livro grande e chato que levaria meses a ler, quando o filme dura uma hora e meia. Alexandre o Grande torna-se ainda maior quando o Colin Farrell o incarna, mesmo se no filme ele passa por um degenerado sanguinario cujos unicos objectivos na vida eram matar e fornicar...
Eu sou o primeiro adepto da futilidade. Mas ela constitui para mim um complemento que me permite um certo recuo em relação ao mundo, porque ninguem pode viver serenamente tendo em mente apenas os inumeros problemas da humanidade. Se pensassemos so na fome no mundo, nos problemas de disparidade entre ricos e pobres, na protecção do meio ambiente, nas guerras, corrupção, etc, etc, iamos direitinhos ao suicidio colectivo à escala mundial. Não. O inutil é nos util. Mas em que proporções?

Panem et circenses... pão e circo. Pão e jogos. Pão e divertimento. DIVIRTAM-SE!

Wednesday, November 08, 2006

A Black Man in the White House?


Hà dias vi uma reportagem sobre o deputado democrata americano, Barack Obama.

Filho de um economista Kenyano e de uma descendente de Jefferson Davies (1808-1889, Presidente dos Estados Confederados -do Sul- durante a Guerra de Secessão Americana), este jovem homem politico americano, depois de um percurso universitario exemplar (ciencias politicas e relações internacionais em Columbia, direito em Harvard) envereda pela defesa dos direitos civicos antes de seguir uma carreira politica que o leva a ser eleito Senador do Estado de Illinois em 2004 (unico "afro americano" actualmente no Senado).

Puro produto do American Dream, Obama apresenta-se hoje como um potencial candidato Democrata às eleições presidenciais de novembro de 2008. Apresentado como um candidato capaz de reunir os Americanos quaisquer que sejam as diferenças, ao invés dos republicanos, cuja estratégia -segundo os democratas- é de dividir, Além da success story, o que me pareceu interessante no documentario foi a percepção que os americanos têem dele. O facto de ser mestiço nos Estados Unidos pode ser um freio às suas ambições politicas. Tiger Woods, famoso jogador de golf cujo pai é "afroamericano" e a mãe de origem tailandesa, provocou um movimento de revolta junto da comunidade negra nos EUA quado afirmou que ele não era SOMENTE afroamericano. Sejamos claros: nos Estados Unidos, um individuo que tenha uma gota de sangue negro não é mestiço, mulato, ou seja là o que for; é Negro. Mesmo se a Mãe deste é loira e de olhos azuis. O que quer dizer que, para a "comunidade", este tera que mais ou menos renunciar ao seu lado "branco" para nã ser considerado como um "vendido".

Estranho paradoxo, que a sua "origem" lhe possa abrir a simpatia dos media e ao mesmo tempo torna-lo indesejavel junto de uma comunidade que deveria ser a primeira a apoia-lo. São apenas suposições da minha mente fértil, mas esperemos que os negros americanos se mostrem mais cidadãos que nas ultimas eleições e se ajudem a eles mesmo antes de se perguntarem de que forma é que os outros lhes podem ajudar.

ELOGE DE LA FUTILITE

Hoje em dia, o blog esta ao alcance de todo e qualquer um. Pensamentos profundos, talking shit, musica, video, fotos, debates, polémicas, blogs temàticos, blogs contestatarios, blogs intimos, ha de tudo um pouco hoje em dia nesta rede mundial. Eu, quanto a mim, revendico no meu o direito de falar de tudo e de nada, e faço o elogio da futilidade. Oscar Wilde escreveu, no prefacio do seu livro O Retrato de Dorian Gray: "all art is quite useless". "Toda arte é inutil". Não que o que eu escrevo aqui se aparente de uma maneira ou outra a uma qualquer forma de arte, mas, como a arte, e apesar de inutil, é algo de que eu preciso.
Pergunta: como é que eu posso precisar de algo inutil? Resposta: quando eu digo "inutil", quero com isso dizer no sentido mais radical e cartesiano da palavra; alguem que vive toda a vida sem saber quem foi o Van Gogh pode perfeitamente viver -o conhecimento da arte é lhe perfeitamente inutil. Ja o coração, orgão que distribui o sangue pelo corpo humano, é lhe absolutamente util à sua sobrevivencia, assim como a alimentação, por exemplo. Mas eu, que conheço e aprecio a beleza de coisas inuteis e futeis como a musica, poesia, pintura, etc., tornei me de certa forma dependente delas. "Toda arte é inutil". E por esta razão, e talvez por ser incapaz de criar em todas essas categorias que tanto me encantam, descrevo-as, comento-as, aprecio-as, critico-as. Vive l'inutile!



"He lives the poetry that he cannot write. The others write the poetry that they dare not realise. " O. Wilde

Wednesday, October 18, 2006

Rua da Maianga



Rua da Maianga
que traz o nome de um qualquer missionário
mas para nos somente
a rua da Maianga
Rua da Maianga ás duas horas da tarde
lembrança das minhas idas para a escola
e depois para o liceu
Rua da Maianga dos meus surdos rancores
que sentiste os meus passos alterados
e os ardores da minha mocidade
e a ânsia dos meus choros desabalados!
Rua da Maianga ás seis horas e meia
apito do comboio estremecendo os muros
Rua antiga de pedra incerta
que feriu meus pezitos de criança
e onde depois o alcatrão veio lembrar
velocidades aos carros
e foi luto na minha infãncia passada!
(Nene foi levado pró hospital
meus olhos encontraram Nene morto
meu companheiro de infância de olhos vivos
seu corpo morto numa pedra fria!)
Rua da Maianga a qualquer hora do dia
as mesmas caras nos muros
(As caras da minha infância
nos muros inacabados!)
as mocas nas janelas fingindo costurar
a velha gorda faladeira
e a pequena moeda na mão do menino
e a goiaba chamando dos cestos
á porta das casas!
(Tão parecido comigo esse menino!)
Rua da Maianga a qualquer hora
o liso alcatrão e as suas casas
as eternas mocas de muro
Rua da Maianga me lembrando
meu passado inutilmente belo
inutilmente cheio de saudade!

Mario Antonio

Monday, October 16, 2006

20 Qs coutndown


Este artigo é directamente inspirado da revista vibe, uma das minhas leituras "de jeunesse".

20- porquê que, quase 10 anos depois, ninguem sabe quem matou o Biggie nem o Tupac?
19- com sanções das Nações Unidas contra a Coreia do Norte votadas à unanimidade pelo conselho de segurança, sera que Pyongyang vai se lançar num braço de ferro com o resto do mundo?
18- e se for o caso, sera que eles terão o apoio de Teerão?
17- qual é o estado de saude actual de Fidel Castro? (ha muito que os media pararam de nos mostrar o avozinho de pijama no hospital, então se alguem tiver noticias, escreva para mim, por favor!)
16- apesar da suposta "abertura" da China ao mundo, o concerto do Jay Z em Shangai foi aanulado por "uso de linguagem vulgar e obscena". sem falar de censura e liberdade de expressão, eu pergunto-me: eles não ouviram os albums do Jay Z ANTES de aceitar que ele fosse dar concertos?
15- porquê que o Paris Saint Germain despediu o Vikash Dhorasoo, quando o primo so queria jogar?
14- porquê que, apesar de cada vez mais "alternativos", não conseguimos deixar de ouvir OutKast?
13- onde é q a DGSE encontrou o Ben Laden e porquê que ja não se fala nesse assunto?
12- porquê que, apesar de uma obra enorme, so se ouve falar do arquitecto Paulo Mendes Rocha desde que ele ganhou o Pritzker 2006?
11- se o Michael Jackson lançar um novo album, quem é que vai comprar?
10- o quê que pode levar o Artur Jorge, depois do percurso que ele fez como treinador, a assinar com a ultima equipa da 2a divisão francesa?
09- e falando de futebol, não seria o momento de alguém dizer ao Romario que jà chega?
08- qui a volé l'orange?
07- quem é que prefere ouvir do que ver as pussycat dolls?
06- e porquê que o Puff Daddy (ou Diddy ou "whatever he calls himself these days") tinha q fazer um som e um clip com a hottest chick of the moment?
05- porquê que funje kuia tanto?
04- serà que a Rihanna vai conseguir roubar o Jay Z à Beyoncé?
03- porquê que eu tenho o sentimento que o filme "World Trade Center", do Oliver Stone não é o melhor q ele fez?
02- porquê que o Nicolas Cage, qualquer que seja o papel ou a emoção que ele tenta transmitir num filme, tem sempre a mesma expressão facial?
01- existe bébé mais bonito no mundo que Thaïs N.Y. Baptista?

Friday, October 13, 2006

BOREDOM

I am Bored...

TACTIL

TACTIL: do Lat. tactile adj. 2 gén., relativo ao tacto; que se pode tactear.

Tactil. E a nova palavra que esta na moda em termos de tecnologia. iPods, telefones movéis, GPS, PDA, ecrãs de computador, televisores, tudo integra agora ou num futuro proximo a tecnologia do "toque". até nos jogos de video (nintendo DS) podemos agora movimentar personagens tocando directamente no ecrã. De uma maneira geral, o conceito é nos vendido com uma noção de prazer, de simplicidade de utilização. Eis o futuro da civilização humana. Michel Houellebecq, no seu ultimo romance, "A Possibilidade de uma Ilha", faz uma assustadora anticipação do que serà a nossa sociedade daqui a algumas centenas de anos: os homens viverão trancados e comunicarão através de computadores exclusivamente, todo o contacto real sera abolido, e a reprodução deixarà de ser o processo natural (e agradabilissimo) que nos conhecemos para se tornar uma mera clonagem. Assim, a eternidade està-nos prometida a todos. Mas o preço para tal é a distância. Das gated communities passaremos para a gated humanity. Serà que esse cenàrio é assim tao futurista? Ou estamos aos poucos a avançar REALMENTE nesse sentido? Pensem no numero de pessoas com quem dialogamos diariamente sem as ver, sem as ouvir, e ao fim do dia temos a impressão de ter passado grande parte do dia com elas...
Pois é, amigos, a tecnologia não anticipa, mas segue a evolução da sociedade que a utiliza. Mas eu quero, revindico o toque humano; quero ver, ouvir, sentir. Quero acreditar que o unico verdadeiro contacto, o unico verdadeiro toque que possa transmitir um prazer genuino é o da pele contra pele. Abraçar um amigo, um familiar que nao vemos a algum tempo; sentir o cheiro, a maciez da mão de uma pessoa amada; o contacto desagradavel da multidão num autocarro cheio, ou ao contrario a comunhão de fãs no concerto do meu artista preferido; Para mim, tudo isso vale todas as tecnologias do mundo. Porque por enquanto, ainda não somos maquinas, apenas Homens...

Thursday, September 21, 2006

Autopsia de um golpe de Estado

Golpe de Estado: tomada, mais ou menos violenta, das instituições mais importantes de um país, tendo em vista a substituição de um governo por outro.

Houve à semanas na Tailandia um golpe de Estado. Militares com nomes impronunciaveis (tentem là dizer Sonthi Boonyaratkalin de uma vez sem soletrar e sem hesitar...) tomaram o Poder e destituiram o Governo. A minha grande ignorancia em matéria de geo-politica, em particular no que diz respeito à Asia, faz com que eu pouco ou nada possa dizer sobre o Governo destituido, tão pouco tenho uma real opinião sobre o assunto. Mas, ironicamente, eu tinha acabado de ler dias antes do acontecimento, O Ditador e a Rede, de Daniel Pennac, que conta "a história de um ditador agoráfobo[...] numa dessas repúblicas de banana com terras de um subsolo rico o suficiente para que alguém ali queira tomar o poder e áridas o bastante, na superfície, para serem férteis em revoluções[...]" Pennac não quis de maneira nenhuma escrever um livro politico, mas sim um conto, onde ele expõe algumas razões que podem levar um homem (ou um grupo de homens) a tomar o Poder pela força.

Mesmo se os meios variam da ficção à realidade, de um Pais a outro, os golpes de Estado seguem invariavelmente, e isto desde a Antiguidade (lembrem-se de César e Brutus, "tu quoque mi fili!" - até tu meu filho!) um mesmo esquema: descontentamento (nem sempre dos mesmos), inércia da parte do poder, organização da oposição, complot, acção, queda de uns, subida de outros. On connaît la chanson. Infelizmente, tambem conhecemos o resultado, por vezes caotico, de tais aventuras. O que me fascina nisso tudo, são as motivações de uns e de outros. Castro, Kadhafi, Pinochet, Carmona, Franco, Hitler (mesmo se o golpe de Estado que ele tentou falhou, e ele subiu ao poder mais tarde de maneira totalmente democratica)...
Tantos discursos sobre o bem do Povo, sobre a exploração dos mais fraco pelos mais fortes que todos querem fazer cessar, para no fim e no fundo ir dar tudo mais ou menos no mesmo: Ditadura!
Não ha nada mais triste do que tomar um Poder que não estamos prontos a assumir, justificando os nossos actos com grandes ideais. Sobretudo se é para no fim sermos nos a privar os outros da famosa liberdade pela qual supostamente combatemos. Boa sorte, Tailandia, e espero que me provem que esta minha visão realistico-pessimista das coisas não é sistematicamente verdadeira...

Sunday, September 17, 2006

Maya Angelou


Marguerite Anne Johnson. Maya. Angelos. Maya Angelou. No liceu, descobri dois poemas desta grande poeta contemporanea. Still I rise e Phenomenal Woman. Dois poemas fortes, que me fizeram interessar-me pela sua obra. Poeta, Mãe, activista politica, militante pelos direitos dos negros, Maya combateu em frentes diferentes, mas sempre com coragem, e com palavras, a sua unica arma. Contra a injustiça, contra a indiferença, contra o racismo; e sempre em favor da igualdade, do Amor, e em constante procura da Beleza. Não so da beleza exterior, superficial e passageira, mas de uma bem mais profunda, que mostra e realça o melhor que existe em cada um de no's.
Maya não hesitou a expor na sua obra as suas magoas mais intimas (no poema Men ela faz alusão ao amante da sua Mãe que abusou dela aos 8 anos), mas tambem o seu amor pela vida, o seu orgulho de ser uma mulher negra forte, numa América racista. Maya Angelou, com a simplicidade dos seus versos, da sua prosa, encantou-me, e desde então, faz parte dos meus poetas favoritos. Hoje professora de literaturae civilização americana na Universidade de Wake Forest, Maya foi a segunda poeta na historia dos Estados Unidos a ler um poema da sua autoria durante a cerimonia de investidura de um Presidente. Tout un symbole.
A descobrir para quem não conhece...
www.mayaangelou.com
http://www.poemhunter.com/maya-angelou/poet-6834/

Still I rise

Still I Rise

You may write me down in history
With your bitter, twisted lies,
You may trod me in the very dirt
But still, like dust, I'll rise.
Does my sassiness upset you?
Why are you beset with gloom?
'Cause I walk like I've got oil wells
Pumping in my living room.
Just like moons and like suns,
With the certainty of tides,
Just like hopes springing high,
Still I'll rise.
Did you want to see me broken?
Bowed head and lowered eyes?
Shoulders falling down like teardrops.
Weakened by my soulful cries.
Does my haughtiness offend you?
Don't you take it awful hard
'Cause I laugh like I've got gold mines
Diggin' in my own back yard.
You may shoot me with your words,
You may cut me with your eyes,
You may kill me with your hatefulness,
But still, like air, I'll rise.
Does my sexiness upset you?
Does it come as a surprise
That I dance like I've got diamonds
At the meeting of my thighs?
Out of the huts of history's shame
I rise
Up from a past that's rooted in pain
I rise
I'm a black ocean, leaping and wide,
Welling and swelling I bear in the tide.
Leaving behind nights of terror and fear
I rise
Into a daybreak that's wondrously clear
I rise
Bringing the gifts that my ancestors gave,
I am the dream and the hope of the slave.
I rise
I rise
I rise.

Maya Angelou

Saturday, September 16, 2006

NameDropping+BrainStorming=Giving Props


Luis de Camões, Maya Angelou, Oscar Wilde, Shawn "Jay Z" Carter, Frédéric Beigbeder, Pepetela, Mark Twain, Mario Puzzo, Amélie Nothomb, Agatha Christie, Robert "R" Kelly, Marvin Gaye, Tom Clancy, Manuel Rui, Marshall "Eminem" Mathers, Daniel Pennac, Honoré Balzac, Guy de Maupassant, Tupac Shakur, Robert Frost, John Irving, Louis Aragon, Jill Scott, Andre "3000" Benjamin, Fernando Pessoa, Eça de Queiros, Nicolas Guillen, e tantos, tantos mais... OBRIGADO.
Por terem escrito um livro, uma musica, um poema, um verso, uma frase que, a um momento dado, foram importantes na minha vida de "consumidor de coisas escritas". Reconheci-me, viajei no tempo e no espaço, sonhei, ri, chorei, senti, inspirei-me, mas acima de tudo, apreciei e apreciarei até ao meu ultimo sopro a vossa contribuição. Ao mundo das Palavras. Das Letras. Dos Sons. Dos Sonhos. Porque ao ler-vos, eu Sonhei Acordado.

Friday, September 08, 2006

Quai Branly, colonies, etc...



Dimanche dernier j'ai visité le musée du quai Branly, à Paris. Je ne vais pas vous faire une description détaillée du musée, je n'en ai pas le talent ni la volonté. Je vais plutôt vous donner mon sentiment sur la genèse de cette oeuvre. Première question, qui est à mon sens essentielle, pouquoi ce musée? La raison pour laquelle je pose cette question est simple: c'est que ce musée, celui des arts d'Afrique et d'Océanie, EXISTAIT DEJA A PARIS! Eh oui, chers amis. Il se situait au Palais de la Porte dorée, à deux pas du Bois de Vincennes. Il datait même des années 1930, il s'appelait le Musée des Colonies et de la France Extérieure, et il avait vocation à exposer les oeuvres des colonies. Un beau batiment art nouveau, avec sur ses façades des fresques évocant ces lointaines contrées sauvages. Plus que leur art, il exposait les bons sauvages (le grand père de Karembeu en sait quelque chose, lui qui a été "montré" comme dans un zoo, comme un animal éxotique à une exposition antérieure). Depuis, dans les années 60, il est devenu, sous l'impulsion de Malraux à la culture, et suite aux premiers démélés de la France avec ses colonies, le Musée des Arts d'Afrique et d'Oceanie. Changent les termes, change l'enjeu: montrer l'Art de civilisations que certains supposaient sans art, alors même que l'art occidental s'en nourrissait grandement. Le Palais de la Porte Dorée étant promis à un avenir autre (il va devenir la Cité Nationale de l'Histoire de l'Immigration), le musée du Quai Branly a vu le jour. Plus grand, avec un pôle de recherche scientifique, un grand auditorium, et un fond d'oeuvres d'art qui semble inépuisable. Mais quel nom lui donner? Le même, musée des arts d'Afrique et d'Océanie? Non, il se veut plus large que son prédecesseur, et accueillir des oeuvres de toute l'Asie et d'Amérique aussi. Musée des Arts Premiers? le débat à fait rage dans les milieux intellectuels en France (premiers par rapport à quoi?), et finalement, il a le nom de son emplacement. Un hommage aux civilisations "non occidentales", à ces cultures lointaines, mais sans le folclore colonial de l'exposition de 1931, sans le côté "venez voir les sauvages". Une reconnaissance, tant le quartier où il se trouve est préstigieux (à deux pas de la tour Eiffel, et non plus au bord du boulevard périphérique), tant le projet fut important, tant l'architecte est connu et reconnu. Plus qu'un simple musée, le Quai Branly est une page qui se tourne, et qui permet à une autre de s'ouvrir. La Cité de la Porte Dorée, lieu chargé d'histoire, va devenir un espèce d'Ellis Island français. Un lieu où on pourra s'informer, réflechir sur la diversité de la France d'aujourd'hui. Pour ensuite parler d'un sujet qui est trop souvent utilisé à des fins politiques, mais qui appartient et devrait concerner tous les français: son histoire, et celle de son immigration, passée, présente et future.

Friday, August 25, 2006

Sensibilidade artistica




sensibilidade artistica. gostar ou nao de tal ou tal obra. pintura, literatura, cinema, arquitectura, escultura, musica. gostos ha para todos, mas o que é que qualifica uma obra de um artista como "obra de arte", ou mesmo "obra prima"? e sobretudo, o que é que faz com que o comum dos mortais aprecie tal arte? a cultura pessoal em matéria de arte? ou simplesmente um sentimento diante de uma obra? nem todo o mundo estudou ou se interessa pela historia da arte. então porque que não se pode ir ao museu do Louvre sem haver uma enchente à frente da Mona Lisa? arte, efeito de moda? existe um "star system" na arte? qual o lugar da arte contemporanea nisso tudo? O Q E ARTE? para mim, arte é um conjunto de referencias, uma maneira de ver o mundo que esta em acordo com a sua época, às vezes mesmo anticipando uma tendencia futura. andy wharol que pinta latas de sopa, é arte. nao pela dificuldade, pela performance artistica, mas pelo significado que ele quis dar a essas latas de sopa. todo aquele que, depois dele, pintou latas de sopa, caixas de cereias ou pacotes de arroz, seguiu uma tendencia, não criou nada, contentou-se de aprovar e copiar algo existente. mas se outro artista pinta a mesma coisa pra dizer outra coisa, ele utiliza a referencia para transmitir a sua propria mensagem. exemplo: l'origine du monde, de Courbet(1866), e l'origine de la guerre, d'Orlan(1995). mais de um século separa as duas imagens, mas um mundo as separa. um titulo, uma imagem forte, e a reflexão esta lançada. o pubis da mulher é a origem do mundo. um pubis de homem é a origem da guerra. isso é arte.

Tuesday, August 01, 2006

que viva la revolucion!

Este fim de semana vi o filme Dirty Dancing2: Havana Nights, por razões diversas e variadas que não interessa evocar aqui. O filme retrata a emigração por razões profissionais de um quadro americano para Cuba em 1958, e a integração de uma das suas filhas através da dança. Apesar da decepção causada pela qualidade intrinseca do filme, achei interessante a alusão a uma Cuba anterior ao regime castrista e à transição, que acontece no momento culminante do filme. 31 de dezembro de 1958, noite de fim de ano, final do concurso de dança latina à qual participam Javier e Kelly, os hérois do filme. Num grande hotel, com uma orquestra linda, todos os beautiful people de Cuba presentes (ou seja os americanos e os dignitarios mais altos do regime de Batista) para assistir ao triunfo da jovem americana timida e do barman cubano ingénuo, reunidos pela dança. Mas neste momento exacto, os "rebeldes" castristas entram, interrompem o baile e informam que Batista fugiu do pais, e que Cuba é livre! Um momento que podia ter salvo o filme da apatia que o caracteriza (nem as cenas de dança estavam bem filmadas, um cumulo para um filme sobre a dança!). Mas não! em vez disso, caimos num melo mais ou menos suportavel e eu desliguei me completamente do filme, para pensar na data propriamente dita: a subida de Fidel Castro ao poder, dia 1 de Janeiro de 1959. Ha mais de 47 anos atras. E hoje, pela primeira vez em 47 anos, o home providencial da revolução cubana "delegou" o seu poder por razões de saude. O homem cujos ideais de liberdade e fraternidade entre os povos seduziram o Che em pessoa; o homem que se recusou a comprometer a sua visão de uma sociedade mais justa, que combateu sempre o "imperialismo" americano; o homem que viu o fim da guerra fria, a queda do muro de Berlim, a União Soviética desmoronar-se para deixar o capitalismo entrar, e que se manteve firme. Este homem, com quase 80 anos de idade hoje, esta doente. Perto do fim, como diria o Paulo Flores. Dai que, depois de ver aquele filme, depois de ver as noticias hoje, eu disse para mim mesmo: nos sabemos como era Cuba antes de Castro subir ao poder: ha documentos, livros, filmes e testemunhos suficientes para permitir uma reconstituição fiel; sabemos (?) mais ou menos como é Cuba hoje, dirigida ha 47 anos por Fidel, fiel à utopia marxista, com todos os problemas que isso cause ao povo cubano. qual sera a face de Cuba pos-Fidel? Porque hoje mais do que nunca, a questão merece ser colocada. A diaspora cubana que se refugiou em Miami principalmente para fugir o regime castrista jubila de ver o fim proximo do Lider Maximo. Porque indubitavelmente, sera um momento de mudança para todos os cubanos, dentro ou fora do Pais. Mas para aonde avanças, Cuba, e que balanço tiraste da tua revolução? a mais idealizada, a mais heroica, a mais justa do século XX para gerações inteiras, que ainda hoje vêem no Che Gevara um idolo, uma resposta às apreensões da nossa sociedade moderna? Espero que o futuro de Cuba, como o de Angola (somos nações irmãs, não esqueçamos o que devemos àquele pequeno Pais), e quaisquer que sejam os seus proximos dirigentes e a sua linha ideologica, seja risonho, e que todo o seu potencial se realise e faça prosperar aquele arquipelago que o mundo em geral e Angola em particular aprenderam a respeitar e amar. QUE VIVA LA REVOLUCION!

o Olhar de Glenn


Não, não criei este blog para vos falar dos meus lindos olhos, muito menos do olhar de peixe morto q é o meu (ao que parece, caracteristica familiar). Mas sim para partilhar convosco a minha maneira de ver o mundo, e desta forma vos fazer entrar no meu mundo. Os meus centros de interesse mais variados (arte, arquitectura, literatura, desporto, actualidade, musica, delirios pessoais) serão abordados no que eu considero desde ja como o meu "diario de bordo" nesta viagem incrivel e fascinante que é a vida. Bem vindos a um pedaço de mim!