Tuesday, October 06, 2009

REMEMBER MY NAME...!



Je pense qu'on peut parler d'une série générationnelle. Une des premières. Avant les Beverly Hills, Hartley et autres qui traitaient l'épineux sujet de l'adolescence et le passage à l'âge adulte, Fame est passée par là. Sur fond d'école artistique, où des aspirants chanteurs, danseurs, musiciens, cinéastes et auteurs en herbe viennent parfaire leur art, nous avions l'analyse de la jeunesse des années 80, leurs rêves, les dures réalités auxquelles elles étaient confrontées, les inégalités sociales, raciales, la drogue, la pression parentale, la poursuite d'un rêve...

Aujourd'hui, 30 ans après, une nouvelle génération d'acteurs, musiciens, danseurs et chanteurs prends le relais, dans un film qui surfe beaucoup sur la célébrité de l'original et de la série. Et le nouveau film, la promotion 2009 tient quelques talents indéniables. L'énergie de ces jeunes assoiffés de célébrité, qui vivent leur métier, leur art avec passion, est communicative. Quand ils font le gigantesque boeuf dans la cantine, se mettent à jouer, rapper, chanter, danser, de façon aussi spontanée qu'ils auraient accompli un besoin vital, on se dit qu'on aimerait être à leur place...

Ça faisait longtemps que voir des gens danser ne me donnait pas autant envie d'en faire de même. J'ai eu envie de jouer d'un instrument, de chanter, danser, mais je n'ai pas ce qu'il faut pour le faire. Mon art à moi, que je ne prétends pas maîtriser, tout juste je le pratique maladroitement, c'est l'écriture. J'écris comme un hobby, par besoin de m'exprimer, par amour de la chose écrite, mais je ne saurai jamais ce que ça aurait pu donner si j'en avais fait mon choix de vie...

Alors me voici, en train de pratiquer ce que je sais faire, ce que j'aime faire, ce que je rêverais de faire... Et en train de critiquer l'écriture du film, justement. Si le tempo est assez enlevé, rythmé par les performances de ces wunderkind du monde artistique, il y a trop de personnages et trop peu de temps pour qu'on les connaisse, qu'on s'y attache. On suit l'histoire de la fille dont les parents veulent qu'elle fasse de la musique classique; du garçon qui vient d'une famille monoparentale et a connu les affres du ghetto; du danseur venu du fin fond de l'Iowa pour tenter sa chance dans la Ville de Tous les rêves; de la jeune chanteuse timide, bourreau de travail mais qui a du mal à se lâcher... On suit tout ce beau monde, on commence à peine à entrer dans la trame de leur vie qu'une ellipse nous amène à l'année suivante, avec de nouveaux défis... Des histoires d'amoue se tissent en filigrane, les acteurs, inconns pour la plupart, tiennent très bien la route, mais c'est l'écriture qui a été trop ambitieuse, et du coup a raccourci un peu trop une aventure qu'on aimerait suivre longtemps encore... Pas sûr qu'après ce film on se souvienne de Denise, de Marco ou de Joy comme on se souvient encore aujourd'hui de Coco, Leroy ou mlle Grant, la mythique prof de danse dont le discours apparaît au générique de la série... Ou alors, pour que cela arrive, il faudrait, comme pour le film original, en faire une série... En tout cas, ce serait une série que je regarderais!...

Friday, October 02, 2009

Machine à Remonter le Temps I


J'écris dans mon blog selon mon envie, la disponibilité de mon cerveau, mon temps libre, mon besoin... Je le fais de façon assez spontanée, en comptant sur dame inspiration.
Dans ma soif de comprendre, de décortiquer, d'analyser, et comme je me dis que rien n'arrive par hasard dans cette vie, j'ai décidé de faire des stats, de compter mes périodes creuses et pleines, celles où j'ai été très productif niveau écriture (je ne parle que en termes quantitatifs, pour l'instant) et celles où j'ai été stérile. Ces statistiques n'ont d'intérêt que pour m'aider à répondre à certaines questions par rapport à mon rythme d'écriture: est-ce un processus régulier, y'a-t-il un cycle ou suis je plutôt tributaire de mon état d'esprit du moment?
La prochaine étape est de tracer une courbe chronologique des événements les plus importants de ma vie depuis que j'ai entamé l'écriture de ce blog, le superposer au graphique ci-dessus; ensuite, analyser les sujets traités aux périodes données, et utiliser la technique de la madeleine de Proust pour, à la relecture des textes, me remettre dans l'état d'esprit qu'était le mien lors de leur écriture, et j'aurai obtenu ma première machine à remonter le temps. La seule question que je me pose maintenant c'est de savoir dans quelle mesure toute cette "analyse" de mon activité d'écriture ne va pas en conditionner la suite, puisque une fois que j'aurai appliqué ce procédé "scientifique" à un processus que je veux le plus spontané possible, je ne sais pas dans s'il le restera bien longtemps! Il ne faudrait absolument pas que je me mette à écrire en ayant le graphique en tête, ce serait la meilleure façon de fausser mes propres statistiques... Alors si jamais cela arrive après cet article, je me demande pardon en avance...

such confusion, don't it make you wanna SCREAM?!?!?


AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH!!!!!!!!!
(parce que desfois ça fait du bien de crier, même virtuellement!!!)

Tuesday, September 29, 2009

Connue pour ête Connue: les stars qu'on idolâtre...

Nous voici en interview exclusive avec la star planétaire, Miss _________ , venue nous parler de son dernier travail, déjà culte, une référence pour toute la profession, ainsi que de la récente polémique la concernant qui a fait la une de tous les tabloïds cette semaine.

Gossip: Bonjour Miss __.
Miss __: ...............
G: Vous avez fait la une des magazines la semaine dernière pour des événements qui ont fait beaucoup de bruit. On peut revenir dessus quelques instants?
M: Je ne vois pas ce qu'il y aurait à dire là dessus. Vous, les media, vous avez tendance à éxagerer tout et a façonner les faits comme ça vous arrange pour vendre votre papier. Je vais pas rentrer dans votre petit jeu...
G: Mais quand même... vous critiquez notre "petit jeu", mais on ne peut pas dire que vous n'y jouiez pas non plus. Ce qu'on a vu dans les journaux toute la semaine, c'est quand même vous! Et vous saviez que, en tant que célébrité, vous étiez suivie, surtout dans un endroit publique comme ça a été le cas...
M: C'est ça... c'est de ma faute maintenant! Si je n'arrive pas à avoir une minute à moi, si je n'arrive pas à vivre de façon normale, si je n'arrive pas à aller aux toilettes sans que une dizaine d'objectifs soient braqués sur mon cul, ça va être de ma faute! Non mais vous êtes gonflés, bande d'enfoirés! Je viens parler de mon travail et vous me parlez que de "l'affaire"... et vous vous dites journalistes! Vous avez eu votre carte de presse dans un kinder surprise?! Non mais c'est pas vrai! (prend son téléphone, allume une clope et compose un numéro.)
G: Soit... parlons de votre récent travail alors... est-ce votre réalisation la plus aboutie jusqu'à...
M: (au téléphone) Allo?! Oui, salut Larry! ouais je suis à l'Hotel, là... Oui, à Paris, où tu voulais que je sois!? Oui, avec un enfoiré de journaliste qui est plus interessé par ce que je fais de mon cul que par mon travail... oui il est là... mais non, rien à foutre, il a rien à me dire de toute façon... oui, écoute... je t'appelle pour te demander (s'adressant au journaliste:) oui bon bah ça va, je parle à mon agent, c'est important... c'est pas comme si vous aviez mieux à faire de votre journée! Donc je te disais Larry... Tu m'as réservé le Ritz à New York?... Mais j'en ai rien à battre du Waldorf, je veux le Ritz, c'est pas si compliqué!!! Je sais qu'il est très bien, le Waldorf, mais j'adore Battery Park... Bah arrange toi, j'en sais rien comment!... Plus de suites, mais tu en fais libérer, des suites! C'est bien pour ça que je te paye, non? Bref, je veux plus d'excuses je veux des RÉSULTATS! Rappelle moi QUE quand ce sera fait. BATTERY PARK, pas Central Park, hein? Oublie pas... et oublie pas de promener mes chihuahuas! Oui, je t'embrasse, chéri... allez grouille, rappelle moi vite! j'ai le journaleux de mes deux qui m'attend!
G: Donc votre travail...
M: Mais arrêtez de me parler de ça, c'est bon...!Vous imaginez pas la pression que l'on subit dans ce métier, à mon âge qui plus est... cette obsession de la perfection, il faut que je sois le pantin de toute l'industrie qui a décidé de m'assigner un rôle, dont j'ai jamais voulu, d'ailleurs! Alors oui, j'ai dérapé, oui je me suis lâchée une fois, UNE FOIS, c'est humain, c'est normal, vu tout ce que je subis! UNE FOIS! Et vous voulez me crucifier comme si j'étais Marie Madeleine en personne... d'ailleurs je comprends pas comment ils ont pu lui faire ça, ces grecs... une femme... c'étaient vraiment tous des homos, je te jure! (rires)
G:Euh... c'étaient des romains... et Marie Madeleine n'a pas été crucifiée...
M: Mais si, sur le mont Olympe là, à côté de Jésus... il y 'en avait deux autres avec lui, un voleur et Marie Madeleine, la prostituée, non?
G: Non... pas vraiment... en fait...
M: De toute façon j'ai jamais été très forte en histoire, tu sais... J'étais plutôt douée en littérature. D'ailleurs ça se ressent, non? puis j'aimais bien le sport, aussi, j'étais la meilleure! En gymnastique, j'étais intouchable! (Enfin, ça dépend par qui... hahahahahaha!!!)
G: (rire gêné...)
Bref, le fond de la question c'est que parfois il faut laisser les gens vivre leur vie... J'étouffe, avec toute cette pression médiatique. Je suis comme la couche d'ozone en ce moment, un pet de vache de plus et je me désintègre totalement... Vous savez pas ce que c'est... vous rentrez chez vous le soir, retrouvez bobonne et les gosses, leur faites faire leurs devoirs de maths, faites vos mots croisés devant Columbo, un whisky et au lit... Moi j'ai 20 de vos collègues devant ma porte chaque fois que je rentre ou sors, que je fête mon anniversaire ou que je vais à un gala de charité... Alors pour une fois, j'aimerais que vous me posiez des questions sur mon boulot, pas sur tout le reste, c'est ma privacité à moi, tout le reste, z'avez pas à y fourrer votre nez! T'as des gosses, toi?
G: Euh... Oui...
M: et tu aimerais qu'ils soient harcelés comme je le suis par toi et tes potes?
G: Mais enfin, c'est pas le sujet, j'essaye depuis tout à l'heure de parler de votre dernier...
M: Bah oui, mais c'est ça qui compte! La famille, le travail... rentrer chez soi et retrouver un équilibre, de la paix! J'aimerais bien avoir des gosses moi... remarque, j'ai le temps, j'en suis pas encore à devoir adopter des gosses au Malawi pour faire parler de moi... Attention, je l'adoooooooooore, Madonna, hein? Allez pas me faire dire ce que je n'ai pas dit! Je suis en admiration complète pour tout ce qu'elle a fait au long de ses plus de 25 ans de carrière... Putain j'étais pas née qu'elle chantait déjà, cette conne! Faudrait penser à ranger les robes de paillettes, la mémé! allez, au tricot! Hahahahahahahaha!... C'est de l'humour, vous mettez pas ça, hein? Bah attends, si on peut plus rigoler... Puis je te le redis, c'est une idole, source d'inspiration depuis toujours, pour moi... Sa façon de gérer sa vie, de faire face à tout ce bordel... Chapeau! mais on s'égare et on n'a pas beaucoup de temps, j'ai d'autres interviews à donner. Ce serait bien que tu me poses ENFIN une question!
G: D'accord. Donc votre dernier travail a été bien accueilli par le public (surtout le plus jeune) mais la critique n'est pas unanime, loin de là. Est-ce que cela vous touche ou c'est le succès populaire qui importe le plus?
M: Mais qu'est ce que tu racontes? Les critiques ont ADORÉ mon boulot! Larry m'a donné tout un dossier de presse et pas un cassage, une critique négative...
G: Pourtant...
M: Tu sous entends qu'il m'aurait menti, Larry? qu'il aurait filtré les mauvaises critiques? Tu me diras, je ne suis pas si surprise que ça... Ça me semblait bien bizarre de ne pas faire Letterman à New York ni Oprah à Chicago... Il me dit que c'est un problème d'emploi du temps... Mon oeil! AH! L'enfoiré... J'en étais sûre qu'il me cachait des trucs? Mais merde, pourquoi?! C'est quand même bien ce que je fais, non? Vou l'avez trouvé comment, vous...
G: À vrai dire c'est pas mon style de...
M: Ah! Bah voilà, toi aussi tu trouves que c'est de la merde! En gros, si j'avais pas été en une de vos magazines à la con à cause d'un petit coup de moins bien, tu serais même pas là, hein?
G: Mais non, je suis journaliste d'un magazine spécialisé, pas d'un tabloïd... Je suis là pour...
M: Pour te foutre de ma gueule! De toute façon tout le monde se fout de ma gueule! Sois belle et tais toi! Si tu couches pas avec X, Y ou Z on en a rien à faire de toi parce que ton travail c'est de la merde! de toute façon tu as "réussi" parce que tu viens d'une grande famille célèbre et milliardaire, t'es qu'une petite fille à Papa qui fait son caprice, mais en gros, tu n'existes pas par toi même!!!!!!!! (en sanglots)... C'est quand même cruel de venir me voir dans ma chambre d'hôtel pour me dire ça! Je veux juste essayer de faire un truc bien, moi... Un truc que j'aime... Je suis pas la meilleure au monde mais je suis quand même pas si mauvaise, si? Si?

(En pleurs dans les bras du journaliste, on frappe à la porte)

M: OUI???
L'assistente personelle: Mademoiselle, le temps est écoulé... il y a d'autres journalistes qui attendent... puis KraYziE est là avec votre... Citronelle.
M: Ah!!!!!! Ma coc... citronelle! enfin une bonne nouvelle dans cette soirée de merde! fais le rentrer et annule toutes les autres interviews! Je me sens pas bien... (au journaliste) Comme ça tu auras cette interview en exclu, mon chéri. J'espère que tu me feras un bel article... et que tu passeras sur les passages les plus... enfin tu vois, quoi! Allez, merci beaucoup et à la semaine prochaine pour la parution! Et si tu racontes des conneries je te colle un procès au cul et tes gosses ils vont pointer à la soupe populaire! À la prochaine, chéri! MOUAH!
KraYziE: HEY! comment va la plus belle de toutes!?! T'as l'air fatiguée, dis donc... allez, j'ai ici de quoi te remonter, ma cocotte... Viens voir un peu, c'est de la bombe!
M:KraYziE!!!!!!!!!! Tu m'as manqué grave, espèce de racaille!... Qu'est ce que t'as pour moi?
(le journaliste sors de la suite, l'air dépité...)

Tuesday, September 15, 2009

Le Prince Charmant ne viendra pas... prenez donc un Homme, un VRAI!


(ATTENTION: LA LECTURE DE CET ARTICLE EST RÉSERVÉE AUX PERSONNES AYANT LE SENS DE L'HUMOUR ET UN MINIMUM DE VÉCU, HISTOIRE QU'ON NE M'ACCUSE PAS DE BRISER DES RÊVES DE MIDINETTE... AH! ET LE PÈRE NOËL N'EXISTE PAS, TANT QU'ON Y EST! COMME ÇA LE TON EST DONNÉ!)


OK, coup de gueule! Il paraît que les Hommes... J'en ai marre d'entendre tout et n'importe quoi sur nous, les Hommes. Mesdames se plaignent que nous sommes volages, que nous avons peur de l'engagement, que nous les faisons souffrir, que nous jouons avec leurs sentiments, que nous sommes sans coeur ou des coeurs de pierre. Bref, le discours d'apitoiement "pauvres de nous, victimes innocentes et sans défense de ces mâles prédateurs qui nous font Mal"... ÇA SUFFIT!

Je ne vais pas défendre ce qui n'est point défendable, mais force est de constater que ces rengaines (parfois justifiées) émanent en grande majorité d'une catégorie de femmes bien précise: celles qui ont envie de se caser! C'est d'ailleurs une envie tout ce qu'il y a de plus louable, chacune ayant droit à aspirer au bonheur auprès de son chacun et inversement. Ceci dit, quand le choix de votre "chacun" se porte de toute évidence sur un individu qui ne répond ABSOLUMENT pas à votre niveau d'exigences, et vous perséverez quand même dans l'espoir de le changer un jour, c'est vous qui êtes dans l'erreur, mesdemoiselles!!!

Mais pour qui je me prends pour venir donner des leçons, me demanderez vous, outrées par mes propos... Bah, je me prends pour rien ni personne, et je ne donne pas de leçons, même si ça en prend apparemment le ton assez souvent avec moi (cet article a comme point de départ un certain nombre de discussions avec des amies à moi, ainsi que mes propres observations et analyses de certaines situations); non, je me contente de répondre à des questions qui m'ont été posées par des amies qui voulaient un "point de vue masculin" sur telle ou telle situation. Je ne dis pas que ce sont des réponses universelles, c'est ma façon de voir les choses, et je respecte suffisamment la liberté de pensée pour me dire que plein de gens ont des avis qui divergent du mien.

Ceci étant dit, je ne vais pas y aller par quatre chemins, et exposer certains des no-doers (choses à ne pas faire) avec nous autres, prétendu sexe fort, mais si fragile, après tout:

I- LE CHOIX DE DÉPART

C'est essentiel. Je dirai même que ceci déterminera 80% de la suite. Vous ne devez pas chercher cet enfoiré de Prince Charmant (il nous a fait du tort à tous, celui là), passé 20 ans c'est fini de chercher à tout prix l'idéal, il faut faire avec ce qui existe, à savoir... nous! Ceci dit, il ne faut pas pour autant niveler par le bas! Il faut rester dans une logique asymptotique: TENDRE VERS, tout en sachant qu'on y arrivera jamais. Alors, il faut choisir quelqu'un qui se rapproche le plus de ce que vous recherchez chez un homme...

Mais comment savoir ce que vous recherchez chez un homme? Telle est la question! Les référents mâles dans votre vie ne manquent peut être pas (père, oncle, grand père, beau père, frère, ami...), et ils vous donnent, quand vous êtes jeunes, une idée de ce que vous pouvez avoir et vouloir (ou pas) plus tard. Mais pour le savoir vraiment, bah il faut vous lancer! C'est à ça que ça sert les années d'adolescence, les flirts, les premiers baiser, les premières fois, les premières déceptions,... bref, si vous lisez ceci malgré l'avertissement de départ, c'est que tout ça est loin derrière vous (ou que vous voulez sauter des étapes en lisant ceci, ce qui vous vaudra invariablement des dents cassées, car la théorie ne vaut pas la pratique, surtout pour pareille matière).
Donc vous avez connu votre lot de connards et de gentils garçons, vous avez été déçue et vous avez déçu, vous avez testé votre pouvoir de séduction, vous avez joué, vous êtes passées par tout plein de choses et vous voulez enfin partager quelque chose qui veuille dire quelque chose... La première chose à faire est donc de... ne pas chercher! La vie est pleine de rencontres, et pour peu que vous ayez un semblant de vie sociale (boulot, sport, club d'échecs, des amis qui ont des amis...) vous serez amenées à rencontrer de la façon la plus naturelle possible; pas besoin de meetics, speed datings et autres conneries organisées où vous aurez 90% de chances de tomber sur des "collectionneurs" (j'aime bien les pourcentages à titre indicatif, basés sur absolument aucune statistique digne de ce nom, ça rajoute de la crédibilité à ce que j'écris...) Vivez, sortez de votre carapace, et vous finirez bien par sympathiser avec le voisin, le collègue, l'ami de l'ami...
À partir de là, il suffit de laisser faire le destin et voir où peut vous mener telle ou telle attirance.

Une fois rencontre et attirance établis, il faut, sans paraître complètement calculatrice (juste quelqu'un ayant du bon sens), poser un regard réaliste sur la personne qui vous plaît ET sur vous même, car il s'agit de la compatibilité DES DEUX ENSEMBLE et non pas des qualités intrinsèques d'une seule personne. Par exemple, si c'est un virtuose du violon, et aussi grande que puisse être votre admiration pour les grands compositeurs de ce monde vous êtes incapable de supporter son instrument plus de 2 minutes, vous maquer avec ce mec posera à un moment un petit problème qui paraîtra anodin au début (oui mais on s'aime, on se complète! c'est un tout petit détail...) deviendra un casse tête quand, une fois ensemble, vous le mettrez dans la position de choisir entre lui et sa passion... Et je parle de violon comme je pourrai parler de sa console de jeux, de son amour pour les drogues douces, de sa légitime petite amie... Le maître mot est donc COMPATIBILITÉ (ou non-incompatibilité, ce qui dans certains cas serati déjà pas mal!); en gros, si vous découvrez que le mec joue à World of Warcraft 8h par jour, vous devez vous dire que, si vous sortez avec, une fois passé l'état de grâce, il faudra faire une croix sur des activités à deux pendant votre temps libre; si le mec a une nana et sort avec vous en même temps, c'est beau de se dire que vous êtes irresistible au point de l'avoir bouleversé au point de bouleverser sa vie bien comme il faut, mais le plus probable est qu'il essaye de mener les deux relations en parallèle, et ceci avec la hierarchie que vous savez; si c'est un mec qui vous fait des scènes de jalousie mémorables, aussi flatteur que cela puisse vous sembler au début, il faut vous préparer à justifier le moindre de vos mouvements, gestes, regards et hésitations... Je ne dis pas que les mecs qui présentent ces caractéristiques (et bien d'autres) doivent se retrouver seuls, ni même qu'ils ne puissent réussir à vous charmer par ailleurs. Je dis seulement que si vous les acceptez comme ça au début, ne pariez pas trop d'argent sur votre capacité à les changer. Car quand bien même vous y parviendriez, vous vous retrouveriez avec une toute autre personne que celle dont vous êtes tombée amoureuse entre les mains, et devinez quoi? Il risque de ne pas vous plaire autant que le précédent, celui que vous avez voulu transformer...
TO BE CONTINUED...

(PS: l'image n'a rien à voir avec l'article, c'est juste un petit clin d'oeil à tous ceux qui s'exclament horrifiés en me voyant: mais dis donc, TU AS GROSSI! Oui, c'est ma méthode très personnelle de prévention du terrorisme!)


Friday, July 31, 2009

GIRLS,GIRLS, GIRLS!!!


"I love girls, girls, girls, girls
Girls, I do adore
Yo put your number on this paper cause I would love to date ya
Holla at ya when I come off tour, yeah"

Jay Z l'a chanté, et je fais miennes ses paroles: J'AIME LES FEMMES! Je les aime dans leur diversité, dans leur complexité, dans leur totalité. Je suis en général curieux du genre humain, mais j'avoue que les femmes, le sexe opposé, hormis l'attirance toute naturelle que j'éprouve envers elles, me fascinent. Je pourrai essayer de trouver des explications en évoquant l'omniprésence de figures féminines dans ma vie, l'absence criante de figure masculine de référence, l'importance du rôle de la mère dans ma culture, etc, etc.
Mais je n'en ai pas envie. j'ai plutôt envie de célébrer la femme, non pas le 8 mars ou le jour de la fête des mères ou à la saint valentin... La femme, matrice, nourricière, première maîtresse; la femme, épine dorsale de la famille, soutient de l'homme; la femme séductrice, fragile, ambigüe... la femme, sûre de soi, provocatrice, timide, réservée; la femme guerrière, louve protectrice de son foyer... la femme, qui ne sera jamais "ni tout à fait la même ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend"..., la Femme, cette Reine, héroïne anonyme du quotidien, qui mérite un hommage permanent... la femme, belle ou moins belle, jeune ou moins jeune, forte ou moins forte, courageuse et lâche, victime et bourreau, meilleure ennemie dont l'Homme puisse rêver... puits de contradictions, entre coeur et raison, pas si différentes de nous au fond, et tellement, en même temps... Des femmes ordinaires, des femmes de tous les jours, des femmes des villes, des femmes des champs, des femmes du bled, mais toutes savantes... des femmes complexes, complexées ou complexantes, des femmes qu'on veut, qu'on ne veut plus, qui nous veulent, qui veulent être aimées... des femmes qu'on aime, qu'on hait, à qui on en veut ou qui nous en veulent... des femmes trompées, trompeuses, trompantes... des femmes sincères, vipères, surnoises, naïves... des femmes comme des fruits, de toutes les couleurs, formes et saveurs, des femmes qu'on ne peut s'empêcher de chercher à comprendre...

Friday, June 26, 2009

Man on the moon...


Michael Joseph Jackson. 50 ans. 40 ans de carrière musicale. Des chansons qui ont connu un succès planétaire comme aucun autre artiste auparavant. Le plus gros vendeur de disques de tous les temps. Des tournées mondiales dans les plus grandes arènes au monde, des concerts joués à guichets fermés. Un sens du spectacle et de la mise en scène visionnaires, qui ont emmené l'entertainment sur une toute nouvelle planète. Les plus grandes manifestations d'hystérie dont l'Humanité ait souvenir depuis JC (Jesus Christ, bien entendu...). Un repértoire de chansons inoubliables, intemporelles. Une démesure colossale, à la hauteur du personnage qu'il s'est créé. Une vie privée espionnée, décortiquée, paparazzée depuis ses 5 ans. Une vie passée devant les caméras de télévision, les appareils photos, les micros. Une famille pas facile, un père tyrannique et abusif, une enfance inexistante, passée à travailler à des cadences infernales. Une sensibilité extrême palpable dans ses textes, dans ses interprétations, dans ses yeux. Des complexes et des moyens pour essayer de les vaincre peu communs, à sa démesure. Un monde parallèle créé pour échapper à une réalité dans laquelle il ne s'est jamais reconnu. Une transformation de sa peau, de son visage de son apparence comme pour fuir quelque chose qui lui déplaisait lorsqu'il était devant le miroir. Des dérives, des suspicions, des manipulations de son image, des accusations, des procès pour pédophilie. Des coups de pub, des mariages douteux, des enfants, tout pour donner une impression de "normalité" à une vie qui ne l'était pas. Des scandales, un refus de grandir, une obsession pour Peter Pan et pour l'enfance qui ont fini de parachever sa chute et son lynchage médiatique. Des tentatives de retour, dont une ultime qui devait avoir lieu dans quelques mois, à Londres, une renaissance après tant d'épreuves. Un dernier adieu à son public qui n'aura pas lieu, emporté par le coeur, ce baromètre impitoyable de la vie, qui l'a lâché après tant d'excès. De la gloire à la déchéance, du haut de la colline aux confins des êgouts dans lequel on a traîné son nom, sa personne, sa réputation. Voilà ce qui me vient en tête, en vrac, aujourd'hui, lorsque je pense à Michael Jackson, quelques heures après sa mort.

On peut dire tout et son contraire sur un homme, à plus forte raison lorsqu'il est mort. Diabolisation ou sanctification, aucune des deux dérives ne m'intérese, et ne devrait avoir cours maintenant qu'il n'est plus. Saurons nous un jour la vérité sur les accusations de pédophilie, sur le secret entourant ses transformations physiques, la vérité sur ses enfants...? Personnellement, même si je partage dans une certaine mesure cette curiosité parfois malsaine sur ces détails intimes de la vie du personnage le plus médiatique du XXème siècle, je sais en mon for intérieur que ça ne compte pas vraiment. Pas pour moi, simple fan de la musique, de l'Artiste. Au final c'est ce qui restera de Michael dans 50 ans. L'image de lui que je retiens? Pas celle de l'idole de plusieurs générations; pas celle du showman incomparable; pas celle du philantrope qui a tant fait pour les moins fortunés que lui, leur consacrant du temps de l'argent et de l'énergie pour défendre leur cause; pas celle du musicien, compositeur, interprète au talent immense; pas celle du caméléon aux mille visages et aux métamorphoses multiples; pas celle de l'accusé en procès pour pédophilie, ni du père de famille bizarre et enfermé lui même dans le complexe de Peter Pan. L'image que je garde de MJ est celle du 25ème anniversaire de la Motown: sur scène, il met le feu au public, il danse, chante et enchante, mais surtout, il prend plaisir. Ça se voit qu'à un moment donné, il est seul dans la pièce, il danse parce qu'il AIME ça, il vit à travers son art, car c'est un Artiste au sens complet du terme, comme il y en a eu peu avant et comme il y en aura peu après... quand il était dans son élément, sans besoin d'être celui qu'on attendait de lui, quand il était plongé dans ce qu'il faisait de mieux, Michael Jackson irradiait telle l'étoile qu'il était. Lui seul, bien mieux qu'Armstrong ou Aldrin, a marché sur la lune...

Thursday, June 18, 2009

Obama kills a fly...

OK, PEOPLE! let's wake up for a minute... Barack Hussein Obama, already a legend in America's history for being the first "black" man in the Oval Office. A great symbol for America and for the world, after 8 yers of scary "Bushism". He defeated Hillary Clinton inside the democrat Party, he won the run for the White House, and he is trying to lead his country into some real change. He is very much media friendly, he is handsome, articulate, charming, a great public speaker, and he has started to show the world he meant serious business. He is full of good intentions (sometimes failing to provide actual measures to make them come alive). He generated a public frenzy only Kennedy has generated in his time: OBAMANIA! Horray, he is the best President EVER (how hard can that be when you sit in the Office right after George W.Bush?), he is the best thing that happened in America since peanut butter (they seem to go nuts over peanut butter down there, go figure...)

Don't get me wrong, I am as far from an Obama hater as one can be. I became interested in him even before he presented himself, I followed this election like no other ever before, and the sign of change made me a believer that it could ACTUALLY come, like Sam Cooke once sang. But come on, people... COME ON! Obama kills a fly and it makes the NEWS!!??? The President of the United States of America kills a fly while being interviewed and suddenly THAT becomes more important than what he was saying? In these times of almighty media shaping the opinion of our sheep-filled planet, am I the only one thinking that DISTRACTION FROM SERIOUS MATTERS SHOULD HAVE ITS LIMITS???

A few hours of mouth to ear and thousands of youtube clicks later, all we know about his interview, the only words that everyone remember are:"i killed the sucker!" The anecdote itself is pretty irrelevant, it would have made me smile (as it did), but when I gave it a thought, I said to myself: "maaaan, this world is in serious trouble..." I wonder, like The Pixies did in their time, "WHERE IS MY MIND"? and most importantly, who is controlling it? I realize that a whole generation is growing up in this fast paced world and have known none other, like I luckily did. They don't read, they barely go to libraries to make research for their papers, they "google it" and "wikipedia it"; they don't watch the news, they watch youtube, or podcasts; they don't buy albums, they download shreds of it on iTunes; they don't seem to know how to get along without facebook, mySpace and twitter; cell phones have become an extension of their hands. This is life as we know it in the early XXIst century. And I should stop saying "they", because even though I had the chance to know something different, I am acting EXACTLY this way on a daily basis. And it freaking scares the shit out of me!
But hey, forget about it, did you check the video of Obama killing that fly? Awesome, man, great reflexes!
(these are now the ways of the world...)

pourquoi on trompe?



"Pourquoi on trompe, à ton avis?"
Quelle question! Il n'y a pas une raison, chacun et chacune à ses propres, personnelles et uniques, je crois. Ceci dit, une chose est vraie: quoi qu'on dise, c'est toujours symptomatique d'un malaise dans la relation. Et le plus navrant, c'est que, en se parlant et en communicant sans peurs et suffisamment tôt, c'est un malaise qui peut être résolu le plus souvent, sans passer forcément par tant de souffrance. Car oui, tromper, prendre la décision de tromper son amoreux lorsqu'on est dans une vraie relation, c'est très douloureux pour celui qui le fait aussi, s'il tient ou a tenu un tant soi peu à l'autre. C'est un aveu d'échec, de faillite. Ça veut tout simplement dire qu'on est pas à la hauteur de ce qu'on avait idéalisé comme relation. La réplique "ça arrive à tout le monde, mais pas à nous" n'est plus possible. Tromper, plus qu'être trompé (quand on trompe on agit, quand on est trompé on subit, du moins en ce qui concerne directement l'infidélité, sans tenir compte des raisons profondes), est une façon de sortir définitivement du monde des contes de fées, et de se regarder comme on est: capable du meilleur comme du pire. On réalise qu'on n'est pas parfaits, qu'on ne correspond pas à l'idéal qu'on se faisait de nous mêmes...

Résumer l'affaire à "les mecs sont des bites sur pattes" ou "toutes des salopes sauf Maman" empêche de regarder de plus près les VRAIES raisons qui amènent quelqu'un qui est engagé à mettre un "coup de canif dans le contrat". C'est souvent un malaise pas ou mal exprimé, ou alors pas compris par l'autre, la peur, le manque d'assurance, la perte du désir, le besoin de se rassurer... l'éventail de raisons internes au couple est large et divers, on ne peut décemment penser à toutes les énumérer sans en oublier... Puis il y a aussi les raisons extérieures qui interviennent: l'envie de tromper l'ennui d'une vie trop "comme il faut", l'opportunité pas forcément préméditée (mais jamais une surprise totale non plus...), l'oreille attentive qui apparaît à un moment de crise conjugale,le jeu de séduction innocent qui dérape, la soirée arrosée qui tourne à l'orgie, l'entraînement par les potes...

Ce serait prétentieux de se croire capable de décrypter toute la complexité qui intervient dans une situation pareille, car on gère énormément de choses à la fois, l'excitation (oui, il y a queqlue chose d'excitant à faire volontairement quelque chose d'aussi unanimement réprouvé par la société, c'est une transgression comme une autre dans le processus d'affirmation de soi), la culpabilité, le besoin de fuir sa vie, la lâcheté, la rage envers soi même et/ou l'autre (on le fait souvent pour "faire payer" quelque chose, inconsciemment, car on croit toujours qu'on ne sera pas pris); j'ai connu quelques fois les deux revers de cette médaille, "victime" ou "bourreau", le plus souvent un peu des deux à la fois... Je peux parler de mon observation, de mon expérience, de mon analyse. Je peux tirer des conclusions en ce qui concerne mes propres histoires, en tirer des leçons, apprendre et avancer dans la conaissance de moi même dans le rapport à l'autre. La communication inexistante ou brisée à un instant quelconque, le ressentiment, la vengeance ou le désespoir de ne pas voir d'issue à une situation devenue impossible, ce sont des situations que j'ai vécues. Je ne connais pas l'avenir, mais je pense me connaître un peu. Au fur et à mesure que l'on mûrit, que l'on vit, on devient moins "victimes" des mouvements impulsifs que l'on regrette par la suite. Si demain je trompais quelqu'un, ce serait, j'en suis convaincu, parce que je le voudrais, non pas parce que j'aurai été dépassé par une quelconque situation.

C'est facile de parler, certes, mais c'est la vérité. Or il se trouve que je ne suis pas fan de la souffrance d'avoir été trompé, mais encore moins de la culpabilité d'avoir trompé. Donc j'ai décidé en mon fort intérieur d'avoir le courage d'être honnête. Si je crois en ma relation, je ferai tout pour la préserver. Les tentations sont présentes tous les jours, partout, et je ne suis pas plus insensible qu'un autre. Mais je suis conscient de ce que ça représente de PERDRE. Et je ne me vois pas dans une relation sérieuse avec quelqu'un qu'il ne me serait pas difficile de perdre. À partir du moment où je ne craindrais plus de la perdre, c'est que ce serait fini, et à ce moment là, nul besoin de faire semblant, autant y mettre fin. C'est quand même mieux de faire souffrir tout en permettant à l'autre de garder sa dignité, au lieu d'humilier quelqu'un que l'on dit avoir aimé à un moment...

"Le pire danger qu'il y a à tromper autrui, c'est qu'on finit toujours par se tromper soi-même."
Éleonora Duse

Wednesday, June 10, 2009

De la Longévité en Amour...


On chante toujours les mêmes phases de l'amour. Chanteurs, bardes, troubadours, poètes, tous ceux qui ont sublimé dans leurs textes et chansons le plus beau des sentiments, qui nous transporte dans les élans les plus romanesques, l'ont fait en prenant invariablement les mêmes moments:
-celui de la découverte, de l'ivresse initiale de la passion, du transport amoureux dans toute sa vigueur, l'éclosion inéxorable de ce qui semble une évidence tant cela va de soi;
-celui de la perte, de la souffrance indescriptible dans laquelle nous plonge le départ, la trahison, la fuite, le décès de l'objet de notre attention, de notre affection... La fin du monde, en somme;
-enfin, celui de la nostalgie contemplative, où l'on regarde en arrière, où l'on songe aux beaux moments vécus, aux circonstances qui ont amené à la fin de ce beau rêve, un mélange d'amertume et de tendresse, un passé revu avec le recul nécessaire pour en apprécier la mémoire.

Il manque donc la plupart du temps, à mon humble avis, le moment sinon le plus important du moins le plus long lorsqu'on a la chance de vivre un amour de longue durée: l'entre deux. On se lance dans une relation en esperant qu'elle durera 30, 40, 50 ans, une vie, en somme. Certains en oublient que, cette vie, il faut la vivre; ce qui veut dire qu'en dehors de la passion indispensable (?), il faut aussi compter avec celui qui est considéré par les éternels romantiques comme le plus grand ennemi du couple: LE QUOTIDIEN!

Entre le moment où elle commence et celui où elle s'achève, il y a cette période plus ou moins longue selon les cas où on se connaît vraiment bien, où on e sent dans cette espèce de "comfort zone", mais où forcément, il y a moins de surprise. Puis, la vie suivant son cours, on vit ensemble, on dort et se réveille ensemble, on se lave ensemble, on déjeune ensemble, on part travailler ensemble, on rentre, on dîne ensemble, on prépare le lendemain de travail ensemble, on re dort ensemble, on se re-réveille ensemble...
Les phéromones jouant un rôle essentiel dans l'attraction sexuelle entre deux mammifères, le fait de baigner en permanence dans une maison remplie de celles de notre chère moitié est le meilleur moyen de s'y habituer, et ce faisant, de réduire considérablement le désir physique. C'est chimique, c'est scientifique, et Beigbeder a très bien résumé l'affaire en un aphorisme: "on ne peut désirer ce qu'on a, c'est contre Nature!"

Sur quoi baser alors ce dit rapport que l'on souhaite éternel, quand la flamme, sans s'éteindre complètement, n'est plus cet incendie sauvage et incontrôlable du début, où le moindre effleurement déclenchait un torrent de passion et une simple moue de la personne aimée nous procurait des frissons de la tête aux pieds? C'est bien beau de succomber à la passion, mais il ne faut pas négliger ce qui devrait être un des socles de la relation à deux, la capacité à communiquer, à partager des goûts et intérêts communs, à découvrir et faire découvrir de nouveaux horizons à l'autre, avec l'autre... Je pense que ce qui contribue à rendre le quotidien, les factures, les crédits pour la maison, la voiture, les études des enfants, les beaux parents, le stress du boulot, l'indisponibilité pour sa famille, les périodes de doute, les crises de la quarantaine, les insécurités dues aux cheveux blancs, au petit bide et aux poignées d'amour, bref, LA VIE DE TOUS LES JOURS à deux/ en famille, c'est le fait d'avoir une vision commune de ce que l'on souhaite accomplir ENSEMBLE. Ça, plus de la patience, de l'ouverture, de l'échange, de la complicité, de l'espace (!), ce sont des ingrédients nécessaires pour faire en sorte que le "lived happily ever after" ne soit pas une vaste blague... Mais il ne faut pas oublier la folie, la surprise, l'imprévisibilité, cette envie renouvelée de plaire à l'autre par mille moyens, de lui faire savoir en permanence qu'il occupe nos pensées, notre coeur. Voilà, à mon sens, la partition la plus difficile à réussir, le dosage le plus improbable à trouver, l'inconnue qui fait que... Parce que avec tous les arguments logiques avancés plus haut, comme dans une thèse, on pourrrait croire qu'il suffit de suivre la recette pour que tout un chacun vive un bonheur durable et sans faille avec sa chère moitié. Mais le facteur aléatoire, HUMAIN, est ce qui fait la beauté de nos rapports, ce qui fait qu'on peut réussir quelque chose qui a tout pour ne pas réussir et inversement. C'est tant qu'on garde en soi cette volonté inexplicable et inexpliquée d'avancer, de devenir meilleur, de rendre l'autre heureux, sans que ça semble un effort, et qu'on est capable de la renouveler lorsque la vie et la réalité reprennent leurs droits, qu'on peut se dire qu'on est amoureux. C'est tant qu'on accomplit sans effort ce qui peut sembler en être un que la survie de la relation est assurée, pour peu qu'on arrive à se faire comprendre et à le faire comprendre à l'autre moitié du couple...

Tout dans la vie est sujet à changement. Le bon choix pour aujourd'hui peut s'avérer un mauvais choix pour demain, alors il faut que nous vivions avec cela en tête; les sentiments d'aujourd'hui ne sont sûrement pas ceux de demain, la vie elle même peut se charger de séparer des gens qui se croient faits l'un pour l'autre. Rien n'est jamais acquis pour toujours. Mais il est possible de préserver, de garder, de chérir ce à quoi on tient le plus, et avec de la volonté de part et d'autre, un peu de recul pour analyser les situations de tension (moi le premier je sais que ce n'est pas toujours facile!), beaucoup d'écoute, de compréhension et surtout d'empathie, cette capacité de se mettre à la place de l'autre... En somme, pour moi, Aimer, c'est contredire AU QUOTIDIEN l'aphorisme de Beigbeder!

Nous sommes tous imparfaits, des êtres faillibles. Quand on décide de se mettre ensemble, on aditionne les imperfections, différentes selon les personnes, parfois incompatibles, souvent gérables avec de l'intelligence, de l'instinct, et de l'amour. Reste à définir ce que chacun d'entre nous appelle de l'Amour...

Tuesday, June 02, 2009

21 MORE Questions...


21- Quelqu'un a des news de Bernard Madoff?
20- General Motors dépose le bilan; un géant de l'automobile mondial, fleuron de l'industrie et de l'économie américaine met les deux genoux à terre et va être repris à 60% par le gouvernement... Le capitalisme est il VRAIMENT mort?
19- Un vol d'Air France perdu dans l'atlantique entre Rio et Paris, un pilote experimenté (11000 heures de vol sur l'A330), un appareil en parfait état (contrôlé en avril 2009); 228 personnes disparues, pas un début d'explication à peu près compréhensible... est-ce que le ciel est toujours le plus bel endroit de la terre?
18- La grippe porcine (après la vache folle, la grippe du poulet, et j'en passe...), une énième menace de pandémie et la planète se met à acheter du tamiflu par tonnes... Mais combien de personnes sont VRAIMENT mortes de cette maladie? Par contre, la malaria, le SIDA, ça ne touche plus personne, apparement...
17- Est-ce que le fait que la patente du Tamiflu soit propriété de la GILEAD SCIENCES INC, entreprise dont Donald Rumsfeld est un des principaux actionnaires, a un rapport avec le cirque fait autour de cette prétendue menace à l'échelle globale, qui a fait vendre ce maudit médicament comme des petits pains? (sachant qu'il est inefficace contre une grippe toute simple...)
16- Pour parler de sujets plus légers, Bordeaux Champion de L1, c'est pas rafraichissant, après 7 ans de règne sans partage de l'OL?
15- Mais Paris 6ème, même si c'est un meilleur résultat par rapport aux saisons passées, n'est ce pas un petit peu dommage? On est passés si près de la qualif pour la champion's league que c'en est rageant!!!!!!!
14- Le Barça réussit le triplé historique Championnat, Coupe et C1... A-t-on vu un meilleur football cette saison? (NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON!)
13- LeBron James, MVP de la saison régulière, qui passe si près de la finale NBA mais n'y arrive pas, malgré une moyenne de 40 points en finale de conférence... n'est il pas temps que King James se prenne un dauphin pour le soulager et construire ENFIN une équipe pour aller au bout?

12- Comment peut on manger chez McDo quand on a la possibilité de manger chez Burger King?
11- Pourquoi on n'a toujours pas de nouvelles de Ben Laden?
10- Raymond Domenech, il y'en a encore pour croire qu'il peut mener la France à la prochaine coupe du monde?
9- Omar Bongo est mort dimanche soir, selon les media français... puis, lundi matin, il était vivant. Ensuite, il est finalement décédé le même jour à 14h30. Est-ce que cette anticipation française correspondait à un souhait profond et à peine voilé?
8- 41 ans au pouvoir. Quelle transition, quelle suite pour l'après Bongo?
7- Avez vous l'impression que la Françafrique est près de prendre fin? (pas moi...)
6- Guiné Bissau: coup d'État en mars, candidats à la présidentielle assassinés en juin, processus électoral clairement en panne, pays à la dérive, une fois de plus... Que t'arrive-t-il, Afrique? Quand te lèveras tu de ton profond sommeil?
5- IS THIS KOBE'S YEAR?
4- iPhone 3G S: ça a l'air du même, mais il est bien meilleur que le 3G. Combien de temps vais-je résister?
3- Parlant de smartphones: le Palm Pre, presque unaniment surnommé par la presse spécialisée comme le iPhone Killer, a du mal à trouver son public, et malgré des performances dites meilleures, est loin de rencontrer le succès du bijou d'Apple Inc. Est-ce le marketing qui fait le produit?
2- IS LOVE OVERRATED?
1- Je sais pas pour vous mais, est-ce que le signe qu'on doit quitter facebook est qu'on commence à ne pas connaître le tiers de nos contacts (et on cherche à éviter en permanence le 2ème tiers)?

Saturday, May 09, 2009

158...


158 mots seraient insuffisants... 158 mille fois j'ai ressassé dans ma tête ce que tout ça veut dire, pour arriver à la conclusion que ce n'est pas là que je trouverai une réponse qui me convienne; y'en a-t-il une seulement? pour expliquer ce battement de coeur à 158 pulsations/minute, cette montée d'adrénaline, ce rush qui m'aveugle, qui précède l'arrivée de ce phénomène qui se vérifie à chaque fois, toujours le même, toujours surprenant...

Digne des plus grands films de Hitchcock, lesquels, même vus et revus 158 fois, gardent toujours la même capacité de nous tenir en haleine, tel est, malgré la répétition, l'effet produit sur moi; je ne saurais dire où et quand cela commence, ni à quel moment c'est fini, parce que ça ne l'est jamais vraiment... C'est un doux recommencement perpétuel, la plus douce des tortures, le vertige le plus absolu que de reprendre encore et encore et encore le chemin me conduisant à ce Saint des Saints, à ce monument érigé à la Perfection idéale. Ici et là on trouve des failles, des défauts, mais c'est ce qui participe aussi de son enchantement, qui me le rend accessible, ce frisson, car seul le souffle de vie et l'inéluctable dernier soupir sont capables et coupables de revêtir un caractère absolu... Malgré cela, on s'en rapproche, sinon dans la réalité, du moins dans la proximité de l'état dans lequel on entre... C'est une petite mort, c'est une source de vie, c'est on ne peut plus libérateur et on a vite fait d'y être accroché... Pour cela, il me suffit de franchir ces 158 petites marches, de les franchir une à une, sans me presser... car ce que je retrouve tout là haut, c'est un avant goût de Paradis...

Friday, May 01, 2009

PURE JUMP SHOT: perfection according to Ray Allen


4:43 a.m. Boston vs Chicago. Game 6. 3rd overtime. Chicago kinda deserves to win and give us a game 7 as exciting and as tight as the rest of the games in this series. But I have to admit one thing about Ray Allen: DAMN, HE HAS A PERFECT JUMP SHOT! He just performed one in front of Joakim Noah. A 3 point shot. Perfect. like there was no one defending in front of him. Perfect jump. Perfect shot. This man is a basketball fundamentals school all by himself. I LOVE THIS GAME!

Tuesday, April 28, 2009

geeking ain't easy but somebody got to do it...


Mark Zuckerberg. Let's face it, this guy is nothing more nothing less than the richest drug dealer on earth. His trick? to sell a LEGAL DRUG that has got everyone hooked up!

Mark Zuckerberg is the creator of Facebook. Now you see my point. He is what we can commonly call a nerd, a geek, a social misfit. A guy who created the most used social network in the world to date, and he did it from his Harvard dorm room, in 2004. He then developed it to become the billion dollar business it is today; in 2008, he was the youngest person to enter the club of self made BILLIONAIRES in the USA; Viacom, Yahoo, Microsoft have tried to buy his Midas-like enterprise, but he didn't sell it.

Mark is living the revenge of a geek, being the cool guy behind the coolest tool internet had to offer since iRC chat (do you even remember that?); he is young, talented and rich to an extent most of us would never dream to be at age 24. He made loneliness profitable, he helped millions to create the illusion they had thousands of friends, he helped match people with equal centers of interest, who would probably never have the opportunity or the guts to meet in real life...

But there is still something disturbing about that: despite being the hot guy of the moment, the center of attention, he rented an entire club to throw a gigantic party, spent 100 grand to satisfy people who went there to kiss his ass, and still, he was nowhere to be seen, playing wallflower at his own party! The man who gets the planet together, who creates millions of connexions a day, who allowed people to meet and get to know each other in a whole new and different manner seems to still have trouble mingling with the crowd. Like he created facebook for himself, to get "out there" because he couldn't do it in person. Seems like he still can't.
Once a geek, always a geek...

Sunday, April 26, 2009

Questionnaire de Marcel Proust

Le principal trait de mon caractère: contradictoire
La qualité que je préfère chez un homme: sa capacité à faire preuve de sensibilité
La qualité que je préfère chez une femme: la fidélité
Ce que j'apprécie le plus chez mes amis: leur disponibilité en cas de coup dur
Mon principal défaut: impulsif
Mon occupation préférée: rêver
Mon rêve de bonheur: vivre en harmonie entouré de ceux que j'aime en bonne santé
Quel serait mon plus grand malheur: je n'ose pas l'exprimer, cela me dévasterait trop
Ce que je voudrais être: quelqu'un de meilleur. On n'est jamais assez bien
Le pays où je désirerais vivre: un mélange d'Italie pour l'architecture, de France pour l'Art de vivre, d'Angola pour l'état d'esprit joyeux, d'île tropicale pour le climat...
La couleur que je préfère: cela dépend pourquoi
La fleur que j'aime: l'orchidée phalaenopsis
L'oiseau que je préfère: je ne suis pas un fan d'oiseaux (merci Hitchcock!) mais à choisir, le colibri
Mes auteurs préférés en prose: Oscar Wilde
Mes poètes préférés: Maya Angelou, Rimbaud
Mes héros dans la fiction: Ulysses
Mes héroïnes préférées dans la fiction: Pénélope
Mes compositeurs préférés: trop de musique et d'inculture pour en choisir un... Mais j'ai un attachement spécial pour la "Lettre à Élise" de Beethoven
Mes peintres favoris: Leonardo da Vinci
Mes héros dans la vie réelle: ma Mère
Mes héroïnes dans l'Histoire: Nzinga Mbandi
Mes noms préférés: Thaïs, Thaïs et Thaïs
Ce que je déteste par dessus tout: avoir des choses à détester et ne pas pouvoir m'en empêcher...
Personnages historiques que je méprise le plus: préfère les comprendre que les mépriser
Le fait militaire que j'admire le plus: je n'ai pas une grande admiration pour la guerre, même si je reconnais qu'elle peut être necessaire. Mais paradoxalement, je dirais la campagne asiatique d'Alexandre le Grand
La réforme que j'estime le plus: --------------------------
Le don de la nature que j'aimerais avoir: la capacité de voler, cela confère aux oiseaux une liberté que je leur envie
Comment j'aimerais mourir: il n'y à pas de "bonne" façon de mourir, mais à choisir, en paix
Etat présent de mon esprit: affuté, il est 6h18 et je n'ai pas dormi encore!
Fautes qui m'inspirent le plus d'indulgence: ceux motivés par la passion.
Ma devise: res, non verba. C'est aussi ma malediction, car je suis très bon avec les mots, et moins bon avec les faits...

Blue Moon...


Blue moon. A rare phenomenon, which became an expression to describe something rare. "Once in a blue moon", something that almost never happens. But again, if it "almost" never happens, it means that sometimes it does. And when it does, what a delight that is! I would never be able to talk about it as well as Richard Rodgers and Lorenz Hart did, back in 1934, when they wrote this beautiful song... Which became an anthem to me ever since I heard Billie Holiday's cover, the most famous to date, the most beautiful to date... I have lived quite a few rare moments in my life. Some of them are really precious to me. Really unforgettable. The last one is still taking my breath away. I wish everyone in this world could live at least one "Blue Moon" moment in their lives. It's just the kind of thing that makes life worth living. Those are moments worth dying for. Blue Moon...


You saw me standing alone
Without a dream in my heart
Without a love of my own
Blue moon
You know just what I was there for
You heard me saying a prayer for
Someone I really could care for

And then there suddenly appeared before me
The only one my arms will hold
I heard somebody whisper please adore me
And when I looked to the moon it turned to gold

Blue moon
Now Im no longer alone
Without a dream in my heart
Without a love of my own

TOP 10 of sexy love making songs


10- Now That We're Done, by 112
09- Bump n' Grind, by R. Kelly
08- That's The Way Love Goes, by Janet Jackson
07- Red Light Special, by TLC
06- Freak Me, by Silk
05- Till' The Cops Come Knocking, by Maxwell
04- Freek'n You, by Jodeci
03- By Your Side, by Sade
02- How Does It Feel, by D'Angelo
01- Let's Get It On, By Marvin Gaye

Friday, April 24, 2009

Daddy Issues


A lot of us have daddy issues. Seems like our generation is, more than any other before, filled with absent (alive) dads, single mothers or blended families...
The place of the male figure in a child life is at least as important as the female's one, and is not to be taken lightly, for both boys and girls, in equal importance but different manners. Growing up "looking for a Dad", knowing all along that he is alive and somewhere, near or far, may be a disturbing experience. It may help some to build their lives in a more solid manner, so that they won't repeat the pattern; but it cetainly creates a void and unbalances in a very strong way the life of the abandoned child.

So what is it that made so many fathers "quit their jobs" as parents? Despite being divorced or separated from the mother of their children, they should never forget that the little ones need them, as flawed as they may be, as imperfect as they may be. They have to realize that, it comes a time in a child's life, no matter how good a parent they may be, they will always seem imperfect to their kids. And they are right, because we are not perfect, we all commit many mistakes. But we have to learn from them...

With your children, you do your best and try to work with what you are given... but you DO IT... It's better to be wrong about something you did thinking it was the best for your children than not to do anything at all... Because when they grow up to become parents in their own right, they understand the sacrifices, the struggle, the difficulty that it is to be a parent and raise a child in this crazy world that gets crazier by the minute. And they will be thankful. But in order for you to have it, you have to do something, to provide love and care and protection and warmth and your best shot to make them happy... Before it's too late... Before it's too late...

Wednesday, April 01, 2009

PREMIER AVRIL: MATCH DES BLEUS (direct commenté, à ma sauce)

Ricardo Glenn Baptista la meilleure blague de 1er avril: faire croire à la France entière qu'elle avait une équipe de foot! and the winner is... RAYMOOOOOOOOOOOOOOOND!!!!!!!!!!!!

Ricardo Glenn Baptista at 9:15pm April 1
commentaire en direct: 13min20- et si les bleus arrêtaient de reculer???
Ricardo Glenn Baptista at 9:17pm April 1
14min40: coup de chaud, sans conséquences... ouf!
Ricardo Glenn Baptista at 9:21pm April 1
19min00: Ribéry veut marquer de 30m... c pas tous les jours Noel, Francky!
Ricardo Glenn Baptista at 9:39pm April 1
36min00: je m'ennuie...
Francis Tognisso at 10:00pm April 1
ZAP
Ricardo Glenn Baptista at 10:11pm April 1
50min00: un lituanien fait un retourné acrobatique à 30m du but. RAS...
Ricardo Glenn Baptista at 10:13pm April 1
52min17: Benzemoule s'échauffe...
Ricardo Glenn Baptista at 10:18pm April 1
56min21 benzemoule à la place de gourcuff... ya quoi sur les autres chaînes?
Ricardo Glenn Baptista at 10:19pm April 1
"les Bleus, premiers pas dans la police" sur M6... des bleus qui n'y connaissent rien au boulot, ya déjà ça sur TF1!
Ricardo Glenn Baptista at 10:21pm April 1
59min27: Sagna perce, Benzema rate!
Ricardo Glenn Baptista at 10:21pm April 1
60min15: Riton vendange une tête...
Ricardo Glenn Baptista at 10:22pm April 1
60min50: Ribéry se prend un coude droit dans la gueule!
Ricardo Glenn Baptista at 10:23pm April 1
62min17: but? non, mais on se réveille doucement...
Ricardo Glenn Baptista at 10:26pm April 1
63min45: Lassana Diarra a failli marquer... il y a un peu de jeu depui quellques minutes.
Ricardo Glenn Baptista at 10:28pm April 1
67min00: 2 têtes bleues ds le vide, le ballon passe...
Ricardo Glenn Baptista at 10:31pm April 1
68min50: Ribéry se fait encore casser. trop technique, il agace les lituaniens!
Ricardo Glenn Baptista at 10:35pm April 1
73min26: on y croit mais c'est à côté, Gignac tape le petit filet extérieur...
Ricardo Glenn Baptista at 10:36pm April 1
75min00:BUT DE FRANCK RIBERY!!!!!!!!!!!!! (on se doutait que ça devait venir de lui...)
Ricardo Glenn Baptista at 10:39pm April 1
77min40: Rbéry se fait hacher les jambes... encore...
Myriam Kamel at 10:42pm April 1
81min00 : Et Michalak, il rentre quand ?:-)
Ricardo Glenn Baptista at 10:45pm April 1
83min40: Henry s'amuse, mais ça ne donne rien...
Ricardo Glenn Baptista at 10:48pm April 1
85min33: Benzema, frappe puissante, mais au dessus!
Ricardo Glenn Baptista at 10:51pm April 1
90min00: +3min
Ricardo Glenn Baptista at 10:54pm April 1
92min38: dernier sprint de Ribéry, encore gâché par Henry
Ricardo Glenn Baptista at 10:55pm April 1
93min00: fini. bonne nuit!